Bureau de Sylphisius

Amele , en appercevant le grand pretre ce leva et inclina légèrement la tete signe de respect , ainsi qu'un petit sourire de reconnaissance , au fond c'était un merci de l'attention qu'il lui consacrai quelques instants .

Mon père ,j'aimerais tout d'abord vous remercier pour le peu de temps que vous me concacrer .

Elle s'asseya : C'est vers vous que j'ai décider de parler . En vous voyant ,j'ai ressentit toute la sagesse et la bonté que votre coeur enferme . Père je ne sais ou me mettre . Mon coeur ne bat plus, ma vie je ne la ressent plus . Chaque jour je meurs un peu plus . La perte de ma fille est pour moi ... je ne serais comment l'expliquer ...
Elle s'arreta un moment puis :

... Toute ma vie j'ai rever une vie de rêve , tout commencait si bien , la connaissance de Sliterin , un magniique mariage , la naissance de notre fille ...
Puis peu a peu , je me suis retrouver seule . Certe vous me direz que Sliterin est de nouveau près de moi mais je ne le reconnais plus : je le sent lasse de moi . Je ne crois meme plus a une vie nouvelle . Chaque est un defis pour moi , bientot se sera la guerre pour ces Orcs .
Elle regarda Sylph :

Ma haine envers ces etres et mon mal , font que je deviens soul de vengeance et aveugle d'amour . Mon père je suis une elfe , non une meurtriere , pourquoi la dieux mon abandonnés , pourquoi ?

Une larme coula le long de sa joue :

Je vous en pris , aider moi , je ne sais plus que faire , je me sent inutile , sauvage , sale ...

La réaction d'Amele surprit Sylphisius. Avoir rencontré cette jeune femme, forte et souriante qui soutenait sa jeune amie, et maintenant si desemparée saisissait son esprit. En signe de compréhension, il tenta de trouver les mots pour la reconforter.

"Mon enfant il ne fait aucun doute que vous souffrez. Mais je vois en vous de l'espoir, que vous ne saisissez tout simplement pas."

Sylphisius leva sa main et bénit Amele sous le signe d'Aariba. Apparement la jeune femme cherchait raison de vivre, il fallait la lui donner.

"Vos paroles me mènent à une certitude, vous haïssez le combat, c'est un fait. Aussi je pense que vous devriez prendre du recul, mon enfant, peut-être vous reposer en un lieu saint pendant quelques temps."

Il leva la main et pointa le plafond.

"Et même si vous pensez que les dieux vous abandonnent, sachez qu'Aariba veille sur vous. Il est neamoins certain que vous devriez chercher occupation."

Il fit silence pour laisser l'Elfe s'exprimait librement et sortir ce qu'elle avait sur le coeur.

Mon père comment trouver autre occupation alors que toutes pensées sont noires , chaque nuits sont des cauchemards et le jours un soleil noir et vidé d'espoir brille sur mon visage . Si je sors , se sont des enfants que je vois heureux et souriants avec leurs parents . Comment vivre ainsi ???

Elle sera les poings :

Si Aariba était avec moi pourquoi aurait il tuer ce que j'avais de plus chère ? Pourquoi m'aurait il enlevé tant de bonheur , amour , tendresse ... tout s'envole , tout disparait !
Oh mon père j'ai mal et j'étouffe , c'est un poignard qui saigne mon coeur , c'est une cicatrice toujours ouverte que je sent . Oh Seigneur pourquoi tant de haine , pourquoi moi ?

Elle s'agenouilla devant Sylph :

Pourquoi mon père , une elfe comme moi ? J'ai sauvé maintes vies , j'ai aidé , j'ai secourue ... Toute la sagesse de mes pères et la tendresse de mes mères resident en moi , j'ai été pure comme la colombe qui s'envole d'espoir : elle pourrait en rougir de honte tellement mon coeur était généreux . Pourquoi ?

Sylphisius ferma les yeux. Avant d'ouvrir la bouche il leva la tête et respira profondement. Parfois la vie était cruelle. Le vieil homme ouvrit lentement les yeux et reporta son regard sur Amele. Et d'une voix aussi douce que possible, il chercha à la soutenir. Il parla lentement et distinctement.

"Il est vrai ma Dame que vos malheurs sont difficiles. Rien n'est plus terribles que de perdre un être qui nous est cher et bien souvent la blessure est si grande qu'il est impossible de s'en remettre."

Il se leva et se tourna vers la fenêtre croisant ses mains derrière son dos et posant son regard su le reflet d'Amele.

"Je ne vous dirai pas de ne pas vous lamenter, je ne vous dirai pas de ne point pleurer. Mais pensez, mon enfant, que si les dieux vous ont gardé, vous, c'est qu'ils ont mission à vous confier. Je suis certain que si vous êtes là, en ce jour, c'est que vous avez été choisie. Votre histoire vous permet de savoir plus que quiconque ce qu'est un enfant, et c'est le message que vous devez porter."

Sylphisius se retourna vers Amele.

"Ce que vous savez, beaucoup l'ignore. Et il est incontestable que plus que n'importe qui, vous avez le pouvoir de redonner espoir à quelques âmes égarées. Cherchez mendiant et soignez le, cherissez une fleur pour la voir s'épanouir. Et peut-être qu'à travers le sourire de vos protégées, vous trouverez la réponse à votre question."

Amele , après avoir entendut ces mots se senti plus sereine .

Mais mon père comment redonner espoir a quelques ames egarées si soit meme nous sommes totalement decourager .

Puis elle tourna son regard vers le vieil homme :

Si moi meme je suis incapable de donner la vie coment pourrais redonner vie a d'autres ? Mon père ma serais t'elle de refaire une famille pour ensuite la voir mourir ou au contraire de la voir ce battre jusqu'a ce que mort sans suive ? Sliterin ne pourrais accepter un tel choix lui meme vie ailleur je le sent , de plus seule , je ne pourrais y arriver que ce soit de donner la vie ou redonner espoir a d'autre . La guerre m'attend et je ferais mon devoir la vengeance c'est ce que j'attend mais j'ai peur , pas de ma mort mais de revoir tout ces visages desenparé comme je l'ai ete .

[ J'ai pas tout compris hein Oo ]

"Ma Dame, aprés vous avoir écouté, je ne vois qu'une réponse à vos questions : la foi. Si vous pensez quelques dieux vous aurez causé injustice, alors vivez ! Vivez et battez vous, le coeur libre, pour leur prouver qu'ils avaient tord ! Montrez donc au monde que personne d'autre que vous ne meritait cet enfant, que personne d'autre ne meritait une vie paisible."

Il se tut un instant.

"Et si par bonheur, vous retrouvez un jour la paix, alors souvenez vous de votre histoire et gardez la tête haute. Car l'on n'oublie pas, mais l'on se pardonne."

( Sa n'est pas grave , en resumé je disais juste comment pourrais je redonner espoir a d'autres si moi meme je n'ai plus d'espoir , et comment pourrais je redonner vie aux pauvres si moi meme je n'arrive pas a avoir d'enfants ^^ )

Amele se releva :
Mon père votre coeur est bon et si pure . Oui j'ai foi , j'ai foi en l'amour .
Oh mon père pardonnez mes plaintes , pardonnez mes fautes .
Elle s'inclina

Le vieil homme sourit à la Dame.

"Mais je n'ai rien à vous pardonnez, mon enfant. Promettez moi uniquement de ne jamais baisser les bras !"

Gardant son sourire il contourna son bureau avant de s'approcher d'Amele et de poser sa main sur son épaule, sans pour autant rien dire.

Sylphisius serra les dents. L'Empire reprenait lentement des forces que déjà on s'en prenait à lui. Il regarda donc Sliterin et lui repondit.

"Si vous tenez à lancer une enquête, faites le, mais je ne veux pas plus de trois hommes s'y attelant. Et toute autre mission sera primordial à côté de elle-ci !"

En effet, un vol d'insigne n'était pas bien grave... Mais pouvait malgré tout faire quelques dégâts. Il fallait ensuite remplacer les anciennes insignes.

Le jour se levait à peine mais une chandelle brulait déjà. A la faible lueur de la petite flamme, Sylphisius cherchait dans nombre de parchemins. A côté des dernières nouvelles du royaume relatées par les écrit de divers hérauts se dressait une pile de plus en plus épaisse. Divers plans de construction, chose à laquelle le vieux prêtre ne connaissait quelques heures auparavant rien, s'entassait ça et là. Alors que le jour finit de penetrer dans la salle, la réalisation d'un bateau semblait posible. Sylphisius quitta alors la salle.

Sylphisius était fatigué ces temps-ci. La chaleur pesante l'insupportait et le travail n'était pas là pour le detendre. Lorsqu'il entendit les coups de Sliterin, il soupira, s'attendant à quelques tâches supplémentaires.

"Veuillez entrez !"

L'apparition du visage du sous-lieutenant lui ota l'idée d'autres tâches à accomplir.

(J'ai des papiers pour vous! Ok je sors...)

Sliterin entra donc, son visage n'étais toujours pas souriant, ni même normal, il semblait plustot angoissé, mal... Mal, c'est comme cela que se sentait le sous-lieutenent. Il salua le prètre en s'inclinant quelques secondes avant de tiré une chaise et de s'y installé. Il regarda derrière lui si il avait bien fermé la porte, en effet, il l'avait fermé, il ne voulait pas que se qu'il dise sorte de ce bureaux. Il regarda l'homme dont la sueur apparaissait au front, et dont l travail était débordant.

Grand prètre, si je suis venu vous voir, c'est parceque vous êtes la personne la plus sage de tout Bélériand, et que j'ai confience en vous. Ce qui m'amène ici aujourd'hui, c'est le fait que ces derniers temps je me sents pas au mieux de ma forme. Lorsque je suis à l'entrainnement, je me sents trop faible même que pour faire une démonstration à mes recrues. Je ne sais pas se qu'il se passe, parfois, j'ai l'impression que mon corps va s'écrouler, des maux de tête sont de plus en plus fréquent, mais ce qui m'interpelle le plus, c'est lors de ma mutation en chat... Je, je ressents des choses étrange, et une douleure, parfois j'ai l'impression de ne plus savoir utiliser cette apparence... Je n'ai jamais eut ça auparavant, je ne sais pas ce qu'il se passe...

On pouvais sentir la peur émmané de lui, il se répètais, ses mots étaient tremblant, et ses geste incompréhensibles. Son coeur battait vite, la sueur le gagnait à lui aussi, mais elle ne vennait pas que de la chaleure.

Je veux savoir Sylphisius... Ca fait une semaine que ça dure, et je ne supporte plus... Est-ce que vous pouvez m'aider? S'il vous plait?

On aurait cru un enfant qui supliait son père de lui acheter un jouet, si pas pire que cela... Sliterin était lamentable...

Le grand prêtre était pensif. La medecine n'avait jamais été son fort, et il ne valait guère mieux que n'importe quel érudit muni de son livre. En revanche, s'il s'agit de maux de l'esprit, peut-être pouvait il aider Sliterin.

"Je comprends votre inquietude, mon jeune ami. Mais peut-être n'y a t-il raison de s'en faire."

Un raclement de gorge termina la phrase. Il était sûr que le sous-lieutenant n'avait pas bonne mine. Le visage pâle de l'homme d'armes troublait l'oeil du vieux personnage. Son desir de savoir la cause de ces problèmes n'en fût que plus grande.

"Comptez moi donc les conditions de l'appartition de ceci, et votre ressentit. Peut-être pourrais-je alors mieux vous conseiller...?"

Pendant que Sliterin enumerait les faits, la plume du grand prêtre s'agitait. Il eut bientôt noté l'ensemble des choses telles que lui les voyait. Rapidement il en était venu à la conclusion que le trouble agissait assurement sur les deux plans. Il affectait le sous-lieutenant physquement, et pour se retrouver sous ses deux formes, usait de la magie. Quant à la cause des evenements...

"Je vous avouerai que le problème est plutôt étrange. Si je puis vous conseiller quelques soins... Je vous conseille de vous rendre au Temple. Demandez le Prêtre Elloth et dites lui que vous venez de ma part. Parlez lui du médaillon aux deux faces. Ceci devrait retenir vos maux sous l'une de vos deux formes. Quant à de veritables soins, je vous conseille de rencontrer le médecin Django, qui sera plus à même de combattre vos problème, une fois le sort enfermé sous une de vos deux formes."