Bureau de Sylphisius

(Désolé mais comme ma soeur vient sur le forum avec mon compte je ne vois pas toujours les novueaux messages et on croit que je suis là)

Ne sachant trop quoi repondre, il prefera se donner quelques instants pour réflechir. Depuis deja quelques temps la construction d'avant poste avait été entreprise pour entierement contrôler l'accés à l'Empire. Une fois les défenses terminées il serait beaucoup plus dur pour quiconque d'atteindre l'Empire.

"Sachez tout d'abord que la destruction de ce pont dont vous venez de parler, bien que ce puisse être l'une des plus grande preoccupation, ne concerne que l'Armée du Roi, et nous n'avons hélas pas moyen d'agir sur leurs terres sans accord."

Soudain Sylphisius regretta les temps plus calmes où l'Empire n'était point encore l'une des grandes cibles de l'union demoniaque. Il accentua le ton, cherchant sans doute à donner une impression plus sévère.

"Vous voulez agir, mais nous ne pouvons envoyer des troupes à l'aveuglette ! Ce serait d'une part enfreindre les lois qui nous autorisent à agir sur Vesperae, et par ailleurs je ne veux risquer la vie de soldats."

Mais Lemy et Garr avaient raison, il fallait malgré tout agir. Dans l'incapacité de faire réelement quelque chose, il souhaitait neamoins leur en donner l'impression.

"La seule chose que nous pouvons pour l'instant faire, attendant que les Elfes Noirs et les Drows pointent leur nez est d'une part de traiter avec l'Armée Royale."

Il pensa au quartier de la diplomatie.

"Nos amis s'en chargeront j'en suis sûr. Quant à nous notre seul moyen est d'affaiblir, sans prendre de risques, l'ennemi. J'entends par là entraîner tous ceux qui vous semble louches hors des terres du Roi, et immediatement les arrêter sous ordre de l'Empire. Il vous suffirez de passer Argelas... Mais la chose n'est pas aisée et demande de ne pas en toucher UN mot à l'Armée Royale. Nous pouvons aussi arrêter tous ceux en torts. Mais je doute que l'ennemi se montre beaucoup s'il prepare quelque chose."

Il griffonna sur un parchemin qu'il tendit à ses interlocuteurs.

"Portez donc cela au Quartier de la diplomatie. C'est la moindre des choses que l'on puisse faire."

Chère Ambassadrice,
Je m'excuse entierement de vous donner à nouveau du travail, mais peut-être l'un de vos assistant pourrait s'en occuper ?
Dans un but strictement militaire et de sécurité, il serait bon de faire accepter la confiscation d'armes dans la cité de Trigorn, qui reste la plus frequentée. Un bureau se chargerait de les restituer lorsque la personne quitterait la ville.
Merci de votre comprehension,
Sylphisius.

Il regarda à nouveau Garr et Lemy attendant que ceux-ci surencherissent leurs idées.

Nombre de messages : 239 Date d'inscription : 10/08/2006

Lémy regarda le bureau pendant que Sylphisius écrivait.

Vous avez raison, étant plus sage que moi je ne peux vous donner tort, mais comprennez, grand prètre, qu'après la soirée que j'ai passé avec maitre Sélénos à affronter deux ou trois personne des légions du mal, on ne sait plus quoi faire. Je suis peut-être du genre à agir les yeux dans le vide... mais en agissant aps on ne fera pas long feu.

Lorsque Sylphisius finit d'écrir sa lettre, Lémy la prit et la lut brievement.

Je vous remercie néanmoins d'avoir répondu à mes questions, et je vous remercie d'aventage de nous comprendre.

Elle salua de la tête le prètre et s'en alla, toujours avec Garr qui n'avait pas parlé une seule fois durant l'entretient.

Avant de sortir, Garr regarda le grand prêtre, et souria comme pour le remercier. Il courut aussitôt vers Lémy qui commençait à partir sans lui, en prenant soin de fermer la porte.

"Oh et puis..."

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que les deux imperiaux étaient déja sortis.

"Je leur suggererai plus tard."

Il venait de penser à une descente qu'ils pourraient faire dans Trigorn. Quelques Demons ne feraient pas long feu contre de nombreux imperiaux...

Sliterin arriva vétu de son habituelle menteau noir. Il frappa trois fois a la porte et entendit la vois du grand prètre lui disant d'entrer. Il s'executa. Il referma la porte derière lui avant de sluer Sylphisius, et de s'approcher de son bureau. Sliterin était encore debout lorsqu'il commenca à parler de ses intentions.

Bonjour Ô grand prètre d'Aaariba. Je m'en viens avec une intention de bonté envers le peuple de Bélériand. L'hiver sera une fois de plus rude et sans pitié, d'autant plus que la guerre est à nos portes. Je me propose donc afin de créer un groupe de chasse afin de trouver des bètes pour nourrir le peuple. J'ai entendu parler de cette action massive de l'alience d'aller récupèrer des annimeaux en assez grande quantitée, quand était-ce déjà? ... Mais je doute que l'on en aura assez pour tenir tout l'hiver...

D'un geste Sylphisius pria son interlocuteur de bien vouloir s'assoir.

"En effet une grande récolte et chasse avait été prevu, mais au vue des grands changements rei n'a pour l'instant été prevu."

Il croisa les mains et sourit.

"C'était une initiative de l'Empereur et il serait, j'en suis sûr, on ne peut plus content de voir la chose réalisée. Aussi vous pouvez dés lors prendre l'initiative de contacter qui vous semblera necessaire à cette action et de constituer à votre convenance un petit groupe de chasse ou alors organiser un divertissement qui cacherait le but de provisions : une grande chasse en l'honneur de l'Empereur."

Il caressa la cicatrice de son oeil.

"Vous avez mon soutien total et je vous laisse maître de l'organisation de ce fait. Mais que ceci n'interfère pas avec le bal organisé pour les fêtes!"

Sliterin s'asseya suite au jeste de Sylphisius

Pour ce qui est du bal, les reserves ont déjà été faites. J'afficherais sur un des murs de notre merveilleuse ville d'aventage de détails à propos de cela. Je vous remercie en tout cas pour votre accord.

L'air confu de Jafouin en disait beaucoup.

Mais de quoi voulez-vous parlé voyons?
Mais qu'est-ce qu'une échope à flûte?

Le Prêtre haussa les épaules.

"Je ne sais. Mais vous voulez ouvrir une échoppe et je me demandais quel genre de lieu ce serait alors ?"

La petite fée eue une étincelle d'idée en tête.

J'ai entendue dire qu'un sculpteur avait son atelier près des échoppes.
Je pourrais faire affaires avec le sculpteur de l'Empire. Il me confectionnerait des instruments tandis que moi je l'ai venderais. Je fournirais bien sûr les matériaux.

"Ma foie cela me semble une assez bonne idée."

Il frappa doucement sur le bureau.

"Et bien ainsi soit il ! Laissez moi jusqu'à la fin de la semaine prochaine pour régler ceci. Vous serez prevenue de l'avancée des travaux."

Le Grand Prêtre sourit.

"Et auriez vous par le plus grand des hasards des nouvelles de la construction du poste avancé du col ?"

La question n'avait certe rien à voir, mais Sliterin étant dans l'amée peut-être saurait il ce qu'il en est ?

La semaine prochaine...c'est parfait.

Merci et bonne fin de journée.

Jafouin serra la main de Sylphisius en signe d'aurevoir et quitta le bureaux.

Je n'en ai aucune idée. Je pourrai aller me renseigner, si vous le souhaitez, étant donné que je n'ai pas grand chose à faire ces temps ci...

Il hocha la tête en signe d'acquiessement.

"Ce sera avec plaisir Messire Sliterin !"

Il regarda l'homme, l'air interrogateur.

Sliterin se leva

Bien, dans se cas, je m'en vais voir où en sont les traveaux. Si vous avez besoin d'un autre service, vous n'avez qu'à me demander, ça sera un plaisir que de vous aider.

Il salua et fit quelques pas vers la porte, l'ouvrir, puis s'arrèta.

A propos... Un silence eut lieux Euh, non, rien... Il sortit et referma la porte derière lui.

Le Grand Prêtre regarda Sliterin refermer la porte et se demanda ce qui pouvait bien le préoccuper.

Il haussa les épaules et reprit son travail.

C'est à peine si le grand prêtre eu le temps de reprendre son travail suite à la visite de Sliterin, que la porte subit trois nouveau coups. Garr, retirant son chapeau, le plaqua contre sa poitrine et attendit que Sylphisius lui donne l'autorisation d'entrer.

"Je me rend souvent à son bureau, ces temps-ci."

[Bon on va dire que je ne suis pas encore parti pour mon voyage ^^]

Entendant frapper, Sylphisius soupira. Il prit quelques instants pour rajuster sa barbe, prendre un air accueillant. Puis il pria Garr de bien vouloir entrer.

"...Entrez !"

Invité

Sauveur arriva et vit alliage en train d'ouvrir la porte...

Bonjour alliage

Sauveur entra dans le bureau le Sylphisius.

Bonjour monsieur. Ces jours-ci j'ai beacoup de temp libre et j'ai enttendu dire que vous cherchiez quelqu'un pour s'occuper de l'armurie. Je me propose volontaire. Je sais forger et j'adore ce métier..la place est t'elle toujours libre?

Sylphisius ricanna devant l'erreur de Sauveur, il venait de confondre Garr avec Alliage. Il fût aussi étonné de voir le Maître de l'Ecurie passer ainsi devant.

"Hum bonjour Messire Sauveur..."

Il écouta les dires de Sauveur pendant que Garr entrait -L'air un peu surpris à l'avis de Sylphisius-.

"Vous m'en voyez navré, mais je pense que vous n'avez deja que bien trop d'attributions et notre chèr armurier Godrïn est revenu de voyage. Aussi pas de problème !"

Invité

Sauveur eut...la honte de sa vie...

'je devrait réfléchir avant de parler'

Ah daccord messire

Sauveur ce retourna et sortit du bureau avec beaucoup de honte

Garr garda le silence jusqu'au départ de Sauveur. Une fois seul avec le grand prêtre, il s'approcha du bureau.

Bonjour Grand Prêtre. Je suis venu ici pour vous proposer si je pouvais servir comme professeur de combat. Je pourrai m'installer dans la salle d'entraînement quand celle-ci est libre, et apprendre à n'importe qui à se défendre. Il est très utile de savoir se servir d'une arme, de nos jours.

Sylphisius tapa dans ses mains.

"C'est tout à votre honneur, Messire Rukainn maintenant qu'il est conseiller..."

Le Prêtre pensa aussitôt en ayant une petite grimace 'Conseiller en voyage...'

"...Ne pourra plus assumer cette fonction."

Il reflechit aux necessités de la demarche.

"Et bien soit, vous previendrai le Général et verrez s'il n'a pas d'objection. Quant à moi repassez d'ici peu j'aurais preparé les parchemins !"

Je vous remercie Grand Prêtre, je vais de ce pas rendre visite au Général.

Garr replaça une mèche de cheveux, comme à son habitude, puis se tourna vers la porte. Il resta quelque instants immobiles avant de sortir.

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