Bureau de Sylphisius

Django entra en trombe dans le bureau du grand pretre.
Il vit sauveur en trainde discuter avec le grand pretre
Oh excusez-moi messieurs.dois-je attendre ici que vous ayez fini avec le
diplomate sauveur ou j'attends dehors?

Sylphisius prefera d'abord indiquer à Django d'attendre pour parler calmement avec Sauveur.

"Vous pouvez attendre ici Messire, prenez donc une chaise."

Il se tourna ensuite vers Sauveur pour lui dire également de s'assoir.

"Et bien disons que nous avons envisagé cette possibilité. Mais comprenez que pour l'instant..."

Il tapota une grosse pile de parchemins.

"Nous avons bon nombre d'affaires à traiter. Mais cela ne saurait tarder..."

Sauveur fut surpris.

Ce qui signifie quoi pour l'instant?

J'attend?

Sauveur était un peu décu mais il pourrait attendre.

Pui-je au moin aller dans son bureau et faire un peu de ménage et rassembler tous les missives et les manuscrits monsieur?

(Désolée jai mal compris ce que vous vouler dire, je doit remplir des document ou régler des affaires avec vous?, ou vous devez régler des affaires avec d'autres personnes?)

Django prit une chaise et il s'assit.Il prit un livre intitulé:Les légendes des 100plus grandes lames et il commenca a lire sans écouter la conversation entre le grand pretre et le diplomate.néamoins il se sentait bizarre,ses sentiments étaient partagés entre la tristesse et la honte des evenements
qu'il avait fait mais il allait rester dans l'Empire pour réaliser son rêve:devenir
instructeur de l'unité anti-deserteurs et des protecteurs de l'Empereur
En repensant a ces objectifs il se dit que ce qu'il avait fait était grave mais
pas assez pour ébranler son rêve:transmettre son savoir

Un domestique penetra dans la salle sans frapper. Il s'inclina. En quelques pas il se retrouva à côté de Sylphisius à qui il murmurra quelques mots. Aprés quoi il repartit aussi silencieusement qu'il était venu.

"Et bien et bien... L'Empereur et ses Conseillers en sont venus à decider que la chose ne s passerait pas pour l'instant. Son altesse ne pense pas vous connaître assez et prefere pour l'instant laisser la diplomatie à l'un de ses proches. Mais comprenez que les choses peuvent toujours changer d'ici peu."

Sylphisius se renversa dans son fauteuil et tira une boufée.

****

Aprés la fête donnée sur la Grand Place, Sylphisius revint au chateau rempli de sentiments joyeux. Il salua chaque personne qu'il connaissait dans le couloir contrairement à son habitude. Deux jeunes garçons jouaient devant la porte de son bureau. Il les envoya plus loin l'air faussement grognon et insera la clé dans la serrure.

Il jetta sa cape rouge et ôta son chapeau de gai luron avant de remettre son manteau habituel montrant son appartenance au clergé. S'installant tranquilement dans son fauteil, il tourna la tête vers la fenêtre -ainsi le dos à la porte- et fuma tranquilement.

Il attendait, et savait qu'il viendrait.

Sylphisius se retourna. La personne qui venait là frappait, ce n'était pas dans ses manières.

"Entrez !"

Il prit son habituel sourire diplomatique.

Mike Nill entra donc et vit le prètre en premier. Il fut un peu étonné de voir qu'un si viel homme s'occupait d'une tâche si importante mais qu'importe. Il s'avanca vers lui enlevant son chapeau et prit la parole avec un leger sourir.

Bonjour! Je voulais me renseigner sur une chose qui me turlupine depuis un petit bout de temps depuis que je suis ici... Ya-t-il un dock dans cette ville? Ou un dock qui appartient à l'Empire... Car si c'est la cas, je me proposerais pour diriger quelques navires de la flottes.

Il se baladait dans la pièce tout en marchant puis se servis d'un petit biblot et l'examina en attendant une réponse de Sylphisius.

Sylphisius ne repondit d'abord pas. Il se leva et fit quelques pas jusqu'à la bibliothèque. D'un bref mouvement du poignet il lança une carte à Mike Nill, où l'on pouvait apercevoir que le seul port du pays, Thorion, était situé bien au nord de Bélèriand. (Il s'agit d'une ville construite elle-même sur des docks)

Pendant qu'il laissait le temps à Mike d'observer ceci, il tira un parchemin. Jugeant le jeune homme incapable de lire -peut-être se trompait il mais il n'en avait que faire, l'homme avait l'air d'un pirate-, il se rassit.

"Et bien Messire Nill, un grand problème se pose à votre requête. L'Empire n'a pour ainsi dire... Aucun bateau militaire."

Il tira nerveusement sur sa barbe.

"Et je me sens bien bête de ne le remarquer que maintenant. Mais à vrai dire nous n'avions aucun capitaine."

Il frappa dans ses mains et saisit sa plume. Il griffonna, signa, et marqua le parchemin au sceau de l'Empire.

"Et bien au nom de l'Empereur, voici un ordre de construction. Vous êtes chargé de la réalisation de ce projet. Vous avez la possibilité de mobiliser les ovuriers qu'il vous faudra."

Puis se rappelant qu'il s'agissait d'un bateau militaire.

"Voyez avec Messire Rukainn s'il accepte, et ce qu'il pense de l'armement du bateau. Et quant à votre budget, consulter le Conseiller Misakith."

Sylphisius sourit en pensant à l'enorme travail que se voyait confier le pauvre homme qui venait chercher travail.

Mike regarda le prètre d'un air étonné, tout se melangeais dans sa tête, il déposa le biblo puis se rapprocha du prètre.

Vous... Me confiez le chantier... d'un port?

Il n'attendait pas vraiment une réponse car il avait bien entendu

Je, j'accepte! Biensur, Je m'occuperais des traveau du dock et des navires!

Sylphisius roula des yeux et dit en riant :

"Evidemment que vous acceptez !"

Puis il ajouta :

"Mais pour l'instant, ne faites qu'un bateau, nous verrons quant au reste."

Une seule construction prendrait longtemps et ils auraient le temps de voir ce qu'il en est du reste.

Sylphisius inspira fortement dans sa pipe avant de relacher de vastes nuages.

"Entrez !"

Il vit apparaître Django qu'il salua d'un hochement de tête et pria de s'assoir.

Django s'assit sur la chaise et regarda le grand pretre. Il ne l'avait plus vu depuis un certain temps. Django sourit puis il prit une profonde inspiration
Je suis venu pour avoir un emploi mais je n'ai plus d'exigences particulieres. Je tiens a préciser que j'ai passé mon diplome de médecinne apres etre parti.
Django souffla puis se remit a regarder Sylphisius tout en attendant sa réponse.

Sylphisius haussa les épaules.

"Et bien peut-être Dame Zackiël sera t-elle heureuse d'avoir un autre médecin à ses côtés...? Sinon qu'aimeriez vous exploiter comme talent ?"

Il s'accouda plus posement sur son bureau.

[On termine cette conversation avec Django et ce bureau disparaîtra. Je me permets de finir ce sujet en tant que dirigeant malgré tout... *Ose et ouais !*]

"Et bien ainsi soit-il, vous serez Médecin de l'Armée. Tachez de trouver des remèdes rapides à utiliser !"

Sylphisius remplit rapidement un parchemin et invita Django à le signer.

[Je ne peux par contre plus modifier les rangs sur la page de guilde.]

Sliterin salua le prètre d'un signe de tête avant de s'assoir et d'entamer ce qu'il avait a dire.On put encore distinguer des égratinure sur son visage.

Je sais que ce n'est pas vous qui vous occupé de cela, mais le général Alliage est introuvable. Hum, enfaite il s'agit d'un rapport.

Donc, tout a commencé hier soir. Etant donné l'état dans lequel ma soeur se trouvait j'ai préféré l'emmener hors de Bélériand, et de la loger quelque part dans Trigorn. Mais on a eut une altercation dans la foret impériale. Enfaite il se trouvait que Sélénos et Lunha se trouvait encerclé par une meute d'orcs...

Il s'arrèta un instant puis reprit.

Je n'avais donc pas d'autre choix que d'aller les aider, et après avoir éléminé une partie d'entre eux, dame Héliane est arrivée. Sélénos, Lunha et ma soeur, Lémy, sont tout les trois partit des terres impériales pour se rendre à Trigorn je pense... Tandis que moi et Héliane sommes revenus.

Il fini son rapport en rappelant une chose que Sylphisius savait surement déjà.

Nos terres ne sont plus sûres, bientot ce n'est pas trois personnes que l'ennemis attaquera mais toute la citée! Je suis quasi certain qu'ils ont installé un de leur camp dans notre foret.

Sylphisius se tint alors le menton, pensif.

"Courrez donc à la caserne ! Mandez l'un des lieutenant Biggs ou Wedge. S'ils ne sont là, prenez vous même le commandement d'une escouade. Et faites une patrouille. Nous recommencerons la chose demain !"

Il y eut un instant de flottement puis il reprit la parole.

"La bataille vient jsute d'avoir lieu et même si la ville est un peu moins protégée, nous devons d'abord venir à bout de ce danger. Bon courage Messire Sliterin."