Appartement du Gardien

Après avoir déposé son cheval à l’écurie nouvellement érigée, le Gardien poursuivit la route de son retour vers ses appartements ; en rentrant, il déposa son sac de voyage sur la table basse en ébène, Andarior était déjà en train de parcourir à haut vol les cimes des arbres de la foret… retrouver la nature des Forets Impériales, provoquait toujours une grande excitation chez ce phoenix, mais le Gardien ne pus s’attarder davantage en ces lieux, il devait voir le Conseiller Amadeus pour le tenir au courant de la situation des templiers, en sortant de ses appartements il regarda une dernière fois le paysage sombre qui s’offrait à sa fenêtre, il semblait qu’un événement grave s’était produit dans l’Empire…

Soudainement apparurent dans les couloirs des gardes se dirigeant vers la personne venant de quitter ses appartements , après un salut très "militaire" l'un des gardes s'adressa au Gardien.

- Gérant des ecrits, je vous salue , je dois une fois de plus vous demandez de me suivre, Le Conseiller Amadeus vous fait mander dans la salle de Reception...

- Et bien, il semble que dernièrement , le chemin du Conseiller Elfe et le miens se croisent souvent, je vous suis, j'allais justement m'entretenir avec lui.

Sans plus de paroles le Gardien se dirigeat vers la salle de reception escorté des gardes du Conseiller.

En arrivant dans les long couloirs menant jusqu'à ses appartements et accompagné d’un page portant quelque affaire de son voyage ardu, le Gardien constat de pas en pas que certains changement avait eut lieu au sein même du Château, des chambres avait disparut, d’autre étaient apparus et certaines ne porter plus le long de leur ancien propriétaire comme celle du Général Vicius… Arrivé devant la grande porte des appartements du Gardien, le page plaça la clef d’argent qu’il rendit au Gardien après avoir ouvert la porte et être entré.

Page :
Vous constaterez que malgré votre absence, nous avons toujours entretenu vos appartements avec la rigueur qui se devait d’être

Gardien * observant ses appartement* :
Effectivement et je vous en remercie grandement , vous pouvez disposez à présent.

Après avoir posé les affaires du Gardien a l’entrée, le page se retira, On pouvait sentir une certaine allégresse que prenait le Gardien a retrouver ses lieux dans lesquels d’innombrables souvenir resté ancrés, autant de l’ancien Empire que du nouveau. Retirant sa cape dans laquelle était envelopper une forme sphérique qu’il déposa sur une table en ébène , le Gardien occupa son après midi a rangé quelque nouveaux ouvrages qu’il apporterait plus tard a la bibliothèque ainsi qu’a se reposer et méditer. Puis, il décida de se rendre dans le bureau du Conseiller Amadeus, celui la même qui l’avait chargé d’une grande mission, il pensait alors que le Général Vicius et L’Empereur Fastpouki étaient trop occupé trop occupé pour entendre un rapport…mais il ne pouvait soupçonner a cet instant de quelle gravité était la nature éphémère de ces simples pensées.

Dans ces appartements, le Gardien avait médité depuis plus de deux heures, et avait passer la majeure partie de l'après midi à récupérer ces forces du combat titanesque que les impériaux avaient mené. Lorsqu'il se leva pour se placer devant la plus grande fenêtre fenêtre de ses appartements, il regarda les jardins Impériaux, comme plongé dans la beauté du pasage.

" De nouvelles responsabilité...ais je le droit de les assumer? "

* tourne la tête vers la table où est posé la perle*

" Il est grand temps de m'occupez de cette relique , nul ne doit connaître son existence dans la capitale hors mis Le Grand Intendant, le Grand Prêtre et moi même...mais avant, il me faut refléchir"

Le Gardien prit sa cape et sortit de ses appartements

Le Gardien avait depuis une heure entamé dans un recoins de son appartement dédié à l’alchimie, des modifications de la cape de Tohr qui baignait à présent dans une récipient gigantesque en verre, dans un liquide jaunâtre…le Maître des lieux commença à soulever un pincée de poudre cristal et en saupoudra le récipient où le liquide était en ébullition.

« Je devrais un jour retourner dans ces contrée du nord ou demeurent les nymphes des forets ardentes secrètes, le savoir que j’y ais cumulé montre aujourd’hui l’utilité de ces connaissances… »

L'alchimiste continua son oeuvre dans la plus grande concentration comme il avait eu l'habitude de le faire à une époque où l'Empire n'était pas encore né...

Quelques discussions montaient dans les étages, frappaient aux portes et s'en allaient dans un trés poli et trés heureux "ou revouar".
Ca se rapprochait, riant de tout se que ça avait déjà pu récupérer...

On frappa à la porte de l'appartement.