Appartement de Django

Django ouvrit la porte de son appartement et vit un lieu assez luxueux

il s'assit sur le lit qu'il trouva tres confortable puis regarda la belle armoire

-du style de trigorn! enfin une remarquable imitation

pour finir il alla chercher son coffre et il le deposa .Ilplaca un mannequin
et y habilla son manequin de son armure . puis il deposa son epee

et rangea ses vetements dans l'armoire

-il va falloir acheter un tapis mais sinon c'est parfait

django s'en alla,ferma la porte et se dirigea vers les boutiques

django rentra chez lui apres 3jours d'entrainement a l'arc.
Il ouvra la porte de sa chambre respira un grand coup puis deposa son arc
et alla se laver.il mit un peignoir et regarda son arc:la corde ne tiendrai plus
tres longtemps et l'arc non plus il allait reparer ca seul ensuite il se coucha sur
son lit et regarda le plafond il etait perdu dans ses pensees entre tout ce qu'il vivait.il s'endormit d'un coup la fatigue acumulee depuis 3jour était trop forte.
le lendemain il se leva de bonne heure, prit une corde pour son arc, la placa
et repara le 'corps' de son arc.il s'habilla et descendit dans la rue. il respira
une fois l'air pur et se dirigea vers le centre d'entrainement

Django revint chez lui apres une journee d'entrainement a l'arc il ouvrit la porte
de son appartement et alla se laver.Une heure plus tard il prit un long manteau
noir et doré en tissu qui était du plus bel effet, une chemise dite de voleur
de par sa legereté et le fait qu'elle soit sans manche et il l'enfila,il mit ensuite
son manteau et passa un coup de peigne dans ses cheveux puis il regarda dans
son ratelier d'arme
-Requiem je pense que tu peux venir avec moi aujourdhuidjango prit sa lourde epee geante qu'il placa sur son dos et instala le blokkeur
en cuir pour maintenir l'epee dans son dos.il prit aussi une rapiere signe
du fait que il trouvait que sa faisait chic ensuite il se regarda dans le miroir puis il entendit un bruit sur sa porte
-messire django il est temps d'y aller.le soul liberator est la!(soul liberator=le bateau personnel de django)
django sortit de sa chambre et partit au bal

Django revint a Beleriand aprés plusieurs jours passés a trigorn pour se rétablir de son combat avec Ludivine la pretresse de Démonio. Il ouvrit la porte de son appartemment et prit une profonde inspiration. Il aimait l'odeur de son appartement il lui rappelait son enfance. Django se coucha
sur son lit et envoya sa main chercher son journal qui se trouve en permanence dans la poche de son manteau. Django tourna les pages de son journal et trouva la page qui l'interressait. Il avait noté toutes les techniques de Ludivine ainsi que son caractere et ses armes. Il analysa chaque détail en se remémorant l'impact sur son corps et le niveau de douleur qu'il avait subi. N'importe quel homme la detesterai et voudrai la tuer mais pas lui au contraire il la remerciait car elle lui avait ouvert les yeux: Il était faible,sa technique ne valait que peu de choses face a un démon supérieur. Django rangea son journal et s'endormit

Django ouvrit la porte de son appartemment et la referma aussrapidemment puis il se dirigea vers son armoire et l'ouvrit puis il prit son manteau et d'autres vetements qu'il jeta sur son lit puis il regarda son ratelier d'armes et prit sa rapiere. Il prit son sac a dos d'explorateur et y placa ses affaires dedans. Il se dirigea vers son bureau et s'assit sur la chaise puis il prit une plume qu'il trempa dans l'encre et ecrivit sur la feuille qui était sur son bureau.

Mes chers amis ceci est ma lettre d'adieu. Je n'aurais pas le courage de vous le dire en face alors je vous le dis par écrit. J'ai adoré ces quelques temps passés avec vous mais je crois que j'ai fait mon temps et que je ne faisais rien de bon et puis mon tempéremment agressif vous a causé tant de problemes donc il vaudrait mieux que je parte. Je vous dit donc au revoir car pour moi vous dire adieu n'aurait aucun sens et puis peut etre que je reviendrais qui sait? alors pour terminer je dirais une derniere chose:Gloire a l'Empire!

Django prit la feuille,se leva, ouvrit la porte de son appartemment,dégaina son couteau,placa la feuille sur la porte et enfonca son couteau a travers la feuille et la porte puis il retourna dans son appartemment et posa son insigne et sa clef sur son bureau puis il ramassa son sac et le placa sur son dosDjango s'assura que la porte de son appartement restait ouverte . Il ouvrit la fenetre du balcon, déplia ses ailes et s'envola hors de Bélériand
les larmes aux yeux

Django etait sur le pas de son appartemment ou il vit que sa lettre d'adieu avec sa clef etait toujours accrochée a la porte. Il l'arracha d'un coup et la chiffona puis il prit le couteau et sa clef. Il la placa dans la serure,tourna et ouvrit lentement la porte. Il fit un pas a l'intérieur et ferma la porte. il balaya la piece du regard et vit que rien n'avait changé. Il prit les armes dans son ratelier , un aiguisoir et un chiffon, il s'assit a sa chaise et commenca a nettoyer ses armes et a les aiguiser. Environ deux heures plus tard il rangea ses armes plus brillantes et tranchantes que jamais. il alla se laver dans sa salle de bain. Il prit d'autres vetements dans son armoire a vetements, il s'habilla et prit le carnet sur sa table de nuit et le placa dans sa poche. Il sortit de son appartemment et ferma la porte a clef puis il se dirigea vers Vesperae ou il devait allez recuperer une epee nouvellement reforgée et acheter des objets a proprieté curative

(HRP:pourriez vous m'envoyer l'invit silvouplait?)

(C'est fait !)

Sliterin, ayant du se renseigner pour trouver l'appartement de Django, arriva devant celui-ci. Il frappa de son poing à la porte de son viel ami et attendit que celui-ci vienne lui ouvrir.

'Je me demande comment il va réagir...'

Django était étendu sur son lit en train de lire quand il entendu des bruits sourds au niveau de la porte
-tiens tiens de la visite?
le médecin-soldat se leva, prit sa chemise qui était sur la chaise la plus proche de lui et l'enfila. Il se dirigea ensuite vers la porte et l'ouvrit lentement, plus il l'ouvrait plus il reconnaissait son vieil ami qu'il respectait tant.
salut Sliterin comment ca va?

Sliterin salua Django de la tête avant de prendre parole.

Je vais bien, merci de t'inquieter pour moi... Et toi? Je peux entrer? J'ai a te parler et le temps me presse un peu... A peine je rentre et déjà je me trouve plein de travail! Et une proposition a te faire surtout.

Django écouta attentivement Sliterin puis il prit la parole
mais bien sur que tu peux rentrer, tu veux quelque chose a boire? et quelle est cette proposition?
Django se décala pour laisser son ami rentrer dans son appartemment

Sliterin entra donc et fit quelque pas dans l'appartement de Django.

Oh de l'eau me suffira.

Il alla dans la pièce qui semblait être la pièce des invité,et s'y instala. Attendant le retour de Django, il observa minusieusemen la pièce. Une vois son ami revenu avec le verre d'eau qui lui était destiné, qu'il prit, il entama ce qu'il avait a dire.

Bien, enfaite, je viens de rentrée de Shinato, et Lémy te transmet toutes ses amitiées. Mais c'est pas le sujet de ma proposition. Enfaite, dès mon retour à Bélériand, on m'a envoyé voir le général Alliage qui m'a offert un promotion. Il m'a gradé sous-lieutenent, c'est a dire une période d'essai pour devenir lieutenent. Selon mes devoirs et mes droits, j'ai la possibilité de choisir parmis un des membre de l'armée une personne qui sera le sergent de ma section. Et j'ai pensé a toi. Qu'en dis-tu?

Sliterin resta assis, bu quelques gorgées de son eau tout en contemplant la réaction de son ami.

Django fut surpris des paroles de son ami.
-j'accepte avec joie ta proposition. Quand dois-je commencer?
Django s'assit a la table et se servit un verre d'eau en attendant la réponse de son ami

Dès demain matin, il y a un entrainnement chaques jours. J'ai pour but d'évaluer les nouvelles recrues, mais je connais ts capacitée seulement je ne puis nommer l'un des nouveau au grade de sergent. Et puis comme ca tu pourra m'aider, d'aventage de nouveau soldat ne vont pas tarder à arriver.

Et il rebut une gorgée

Django était devant la porte de son appartemment. Il semblait fatigué et légerement inquiet quand il prit sa clef et la placa lentement dans la serure, il la tourna et entra lentemment chez lui. le sergent retira sa clef, et ferma sa porte.
Il enleva précipitemment son manteau et sa chemise. Il s'asseya sur son lit et se frotta les yeux tout en enlevant ses chaussures. Django s'installa dans ses couvertures en se rappellant le doux moment passé avec ses amis et Aqualia
c'est sur ces pensées qu'il s'endormit d'un profond sommeil, emportédans divers reves plus ou moins agréables

Sliterin arriva chez Django et assena quelques coups fermes sur la porte de ce dernier.

Djago! C'est moi! Je dois te parler!

Et il attendit.

Django était étendu sur son lit. Il avait cherché Minoko une bonne partie de la jounée, de la nuit aussi d'ailleurs. Il ouvrit les yeux tant bien que mal et se leva, lentemment. Le sergent enfila rapidemmet son pentalon et sa chemise puis ouvrit lentemment la porte en lachant un tres distingué (tu parles)

M'oui, C'que c'est?Oh Slitérin, rentre je te prie.

Le médecin s'écarta quelque peu pour laisser le sous-lieutenant passer.et entrer dans son petit mais agréable apartemment

Sliterin entra donc rapidement. Il s'arrèta quelques pas plus loin ezt se tourna vers Django.

Je vais faire bref, je sais que Minoko est sous ta responsabilitée. Je ne sais pas si tu l'a déjà remarqué, mais elle n'est plus dans sa cellule.

Si elle n'y est plus c'est parceque je me suis permis de la libèrer pour une mission tout a fait particulière... Tu sais, mon ingigne? Je penses savoir ce qui va en advenir, et Minoko est une très bonne voleuse et assassine, elle pourra surement s'infiltrer dans un groupe et essayer de retrouver mon insigne et celui de sieur Garr. Quant à Alliage, je penses qu'il n'a pas encore été mit au courant? Dans ce cas on oublie Minoko. Si elle recommence c'est comme si avant cela ne s'était guère produit. Cependant si tu tiens à me trair je te laisse faire, mais j'ai bien peur de devoir quitter l'Empire avec cela, de plus mon insigne sera un atout pour l'ennemi si tu fais cela... Je te le demande ai confience en moi une fois de plus, je sais ce que je fais...

Il cessa enfin de parler pour laisse la parole à Django.

Django regarda Sliterin avec une tete de 6 pieds de long. Quand il eut repris ses esprits il balbutia quelques mots

-Alors c'est toi qui l'as....et pour ton insigne en plus! Bon écoute c'est pas l'envie qui manque de te dénoncer mais je suis pas comme ca. Le seul et unique probleme c'est que Minoko devait encore etre interogée par le géneral. En plus tu n'as pas fait ca discretemment, tu aurais au moins pu forcer la sérrure!

Django ferma les yeux et réflechit un moment, Sliterin avait fait une énormité. Le sergent repris la parole encore une fois

Le géneral viendra quand meme, je lui envoyais des lettres expliquant l'affaire Minoko et celle de l'Aurore Pourpre et cela tu ne pouvais en etre au courant. Toujours est-il que meme si je ne te dénonce pas, il finiront tot ou tard par savoir que c'est toi qui l'as libérée. Dans le cas présent, j'imaginne qu'il vaut mieux arranger cela pour faire croire qu'elle s'est enfuie d'elle-meme.
On va se rendre maintenant en prison et arranger la céllulle ou elle était pour faire croire qu'elle s'est évadée seule. Je vois que ca a faire
Le médecin fouilla dans une de ses armoires et prit un couteau qui allait servir a faire croire que la sérure a été forcée. Django attendit ensuite l'accord du sous-lieutenant pour cette opération

Sliterin sourit.

Très bien, mais ne doutes en aucun cas de mes intentions, je sais très bien ce que je fais, de toute façon, je pourrais m'arranger pour que Minoko retourne en prison... Soit, partons!

Django était comme a son habitude sur son lit, un livre a la main. Toutes les personnes qui étaient venues se proposer pour sa petite annonce ne correspondaient pas du tout au profil requis: avoir des simples bases en médecine. Pourtant trois coups sourds se firent entendre derrierre la porte. Le sergent se leva, alla vers la porte et l'ouvrit. Un homme plutot agé et un autre homme, a peu pres dix-huit ans, se trouvaient sur le pas de la porte. Quand l'impérial eut enfin reconnu le vieil homme il balbutitia quelques mots

Django: Sage Andross c'est vous?

Andross( le vieil homme): Oui Django, je suis venu pour ta petite annonce et aussi pour que tu me rembourses enfin la dette que tu as envers moi. Et puis arrette de me regarder comme si j'étais un revenant

L'impérial se décala et invita les deux personnes a rentrer dans son logemment, puis il les incita a s'assoir a sa table et leur apporta du vin.

Django: euh Sage... en fait je pensais que votre infirmerie de l'ile des sages avait été détruite et que vous étiez mort, c'est pour ca que je ne vous ai pas remboursé

Andross: c'est oublié petit... Mais par contre je veux que tu nous recrute, moi et Derek.

Le médecin de l'empire regarda d'abord le vieil homme d'un air ahuri: le vieil homme voulait travailler a l'infirmerie, ce meme vieil homme qui l'avais jadis sauvé. L'impérial regarda par la suite l'autre homme, ainsi il s'appellait Derek.L'impérial ne le connaissait ni d'Eve ni d'Adam mais il avait une dette envers le vieil homme, ce dernier l'avait sauvé alors qu'il s'était pris une fleche,lors d'une expédition a la pyrammide de l'ile des sages. Dans ce genre de cas le sergent ne pouvait faire qu'aprouver, il savait que Andross était un bon médecin.

Django: bon bah d'accord... vous habitez ensemble?

Andross: Moi et Mon petit-fils nous habitons effectivemment ensemble, juste a coté de la forge.

Le dénommé Derek devait donc etre le petit-fils du vieux sage...

Django: Je sais ce que vous vallez,sage, et j'immaginne que votre petit-fils doit etre extremmement doué aussi. C'est pourquoi vous etes officiellemment engagés pour la réouverture de l'infirmerie!

Par la suite Django but quelques verres avec ses nouveaux collegues, histoire de faire connaissance et de parler un peu avec l'une des nombreuses personnes qui lui avaient jadis sauvés la vie.

(PS: le vieux n'est pas un des 5 sages, mais un vieux médecin en qui Django éprouve tellemment de respect qu'il l'apelle sage, voila pour la petite précision)

L'impérial se tenait devant sa porte, dans le couloir des appartemments. Le jeune homme introduit sa clef dans la serrurre, deux tours de clef et la porte était désormais ouverte. Le sergent rentra dans son appartemment, referma la porte, déposa son sac a dos et eut une profonde inspiration.
'
enfin chez moi...'

Django décida de s'accorder un peu de repos et s'installa sur son balcon, un verre de bourbon a la main, un livre dans l'autre, la paix dans l'ame et dans le corps.

C'était peine perdue pour Django, car à peine il s'était à peine installé que déjà, le sous-lieutenent frappa à sa porte. Django voulait le voir avant qu'il ne parte à Trigorn, et Sliterin voulait savoir pourquoi.

L'impérial fut intéromppu dans sa lecture sur l'histoire de l'empire. Le sergent se leva, finit son verre d'une traite et le posa sur sa chaise avant de se diriger vers sa porte et de l'ouvrir a un rythme normal, Le médecin fut un peu surpris de voir le sous-lieutenant mais qu'a cela ne tienne, une visite restait une visite.

Bonjour Sliterin.

Et Django s'écarta pour laisser rentrer son supérieur dans son appartemment.

Sliterin salua de la tête comme à son habitude avant d'entrer. Il se tourna vers son hôte.

Tu souhaitais me parler l'autre jour? Lorsque je suis partit précipitement ?

Il avait dit cela sur un ton plustot pressé, visiblement il n'avait pas le temps de rester plus que cela.

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