Prison Imperiale

Noreak fut donc jeté en prison...
_Quel bordel...Au moins je sais ce qui m'attend si je deviens vraimment pirate...
J'aime.
Après s'être assis, il contempla avec attention ce qui allait être sa maison durant 2 jours. Il remarqua la saleté des lieus...
_J'sens que j'vais m'plaire ici.
Il souriat

Noreak, qui était si calme, se leva enragé, regarda Django
_Pourquoi !? Pourtant l'autre impérial m'a certifié qu'on me le rendrait ! J'me fous de ce que tu me dit...Et arrète de m'apeller petit, minable.

Noreak regardas Alliage...
_Je me suis battu contre un voleur et un impérial, j'ai insulté ce même voleur et ce même impérial...

Noreak s'assis au fond de la prison en baillant...
_Au moins j'suis mieux qu'a la maison...L'banquier commence a m'énerver. J'serais enfin tranquille.
Noreak regardas autour de lui, et s'écrias :
_Y'a rien à boire...Y'a rien à boire !? Raaah ! Où sont les gens qui sont supposées apporté à manger et surtout à boire !?

Rukainn arriva suivit du Géolier. Le conseiller Martial observa l'adolescent.

- Alors, toujours obstiner à hurler.. J'espère que cette nuit t'aura fait du bien. Je sais que tu ne changeras pas de conviction mais au moins, grâce à ça, pour cette nuit personne ne t'a tué car il en aurait marre de t'écouter brayer.

L'hybride tourna la tête vers Georges et hocha celle-ci. De suite, le gros bonhomme totalement chauve ouvrit la porte et attrapa l'adolescent par le bras pour le faire ressortir. Une fois dehors, Rukainn s'approcha du gosse. Dégaina le sabre d'abordage qu'il avait garder sur lui et le tendit au gamin.

- Ca t'appartient ça. Et dehors, il y a une charrette, t'emmenant jusqu'à Trigorn. Ca évitera de faire plus d'une demie journée de marche.

Noreak prit le sabre
_J'ai pas besoin d'une charette, je marcherait à pied...
Et il partis d'A beleriand, à pied...

Le lycan jetta un ragard noir à Alliage et se leva. Il poussa un grognement et se dirigea vers le fond de sa cellule. Là, il frappa de toutes ses forces dans le mur jusqu'à en avoir les mains en sang, puis il s'effondra au sol, essouflé. Il s'assit ensuite par terre, dos au mur, et attendit.

Je n'est pas 100 piece d'or. Je vis de la chasse qui m'ammène tout les jours à tuer. J'y prend un réel plaisir vous savez. Tuer, c'est un peu comme boire sans jamais avoir la geule de bois. Je suis certains que je prendrais un réel plaisir à vous tuer, pas parce que je vous hait, nan, mais parce que vous devez être intéressant comme victime. Je me demande par exemple si vous allez pleurer en vous vidant de votre sang, ou alors si vous tenterez une derniere fois de me tuer en surmontant les vomissements compulsifs qui vous feront vider vos boyaux. Vous voyer, tuer n'est pas une obligation, c'est une passion. Les démons tuent pour asservir les autres peuples, les Drows aussi. Les autres lycan se tuent pour des femelles, ou des territoires de chasses. Mais moi je tue juste pour le simple plaisir de voir se répandre vos tripes a mes pieds, ou pour vous voir agoniser pendant que mon poison pollue vos veines et s'insinue sournoisements dans votre cerveau. Alors si vous croyez que j'ai de quoi payer, vous rêvez. Je ne tue pas pour l'argent, mais pour le plaisir.

2 gardes s'arrêtèrent devant sa cellule, un parchemin dans leur mains.

-Euh waih... on l'a un peu oubliée elle...

-...Pas grave ni l'conseiller ni l'général sont là pour savoir ça..

-...

-Euh...zêtes libre m'zelle.

La cellule fut ouverte, et the*saw fut conduite par un passage pour lui permettre de sortir de la ville quelque peu assiégée et entourée de démons...

(D'solé du retard =p)

[Hrp: Je ne l'avais pas oublié. Sauf que je ne la concidère pas comme une prisonière vu qu'elle Rpait sur SO pendant qu'elle était en taule >_> ]

Méprise se réveilla derrière les murs sombres de la prison. Il sourit.

'Les rats qui peuplent leurs prisons ont plus d'allure que la furie effrontée a qui je doit mon emprisonnement. N'empêche, 4 personnes dont l'Empereur en personne pour m'arrêter alors que je suis désarmé. C'est vraiment l'amour fou! '

En fin de soirée, le gardien apporta à Méprise un bol de soupe, un quignon de pain et une cruche d'eau.

"Tu devrais manger mon gars... T'as de la chance ! Tu vas sortir bientôt ."

Il retourna vers l'entrée à son bureau.