Recueil des poèmes de Vhaidra, Ancien poète de l’Empire

Un Empire changé *

Eclair de rage et horizon noir passé
Tel ai-je connu les impériales idées
Sur les champs de bataille j’ai vécu
Et la mort de tant de personnes j’ai vu

Un jour j’ai quitté cette capitale
Devant l’empereur lui-même je l’ai quitté
Mes rêves devenaient plus palpables
Cette noire capitale, je l’ai délaissé

Mais qui dit que l’espoir était une dame
La dame de la destiné était en faite un
Je l’ai rencontré sans avoir d’état d’âme
Et grâce à lui je reviens le moment opportun

Je reviens à la capitale maintenant
Et ce n’est plus violence mais fierté
De voir un passé qui sera dorénavant
Le siège de la paix de la liberté

Vhaidra, Poète de l’Empire*

La défunte Leanne*

Après une longue période noire de guerre
Trois êtres reprirent l’empire créant une nouvelle ère
Un homme, deux elfes, pour un mouvement de paix
Une nouvelle vie, un nouvel empire, une nouvelle santé

Entre ses deux elfes se trouvaient, Amadeus et Leanne
Un se consacra à l’empire, l’autre à son amour de la nature
L’autre c’était elle aimante, téméraire, magnifique et fine
Jamais on n’aurait cru ne plus la voir dans ces parures

Elle qui a tant fait pour nous tous, qui est la depuis le début
En ce jour, nous la voyons maintenant, comme disparu
Incompréhension, tristesse et pleure nous viennes à cet instant
Seulement elle ne le désirerait pas que vous soyez souffrant

Désormais son corps n’est plus de ce bas monde
Mais ne vous fiez pas au physique, pensez à l’âme
Si une chose est immortelle ce n’est pas la mort
Les sentiments eux ont un début mais pas de fin.

Vhaidra, Poète de l’Empire*

Désespoir et peur arrivent face à moi maintenant
Ce que je craignais est arrivé, je n’ai plus de temps
Ma vie continue pourtant à s’écouler dans la journée
Mais la nuit, ce n’est plus moi, je suis contaminé

Aurais je besoin d’aide, ou devrais je rester seul
Dois je me cacher ou me montrer à qui veulent
Je ne sais maintenant que faire de cette malédiction
Qui est en partie de ma faute et de mes résolutions

Les bois seront-ils mon abri désormais durant la nuit
Et la capitale de l’empire, ma maison que j’ai fuit
Fera parti de ma vie durant tous les nouveaux jours
Mener une double vie, je ne veux pas ça pour toujours

Comment puis je me présenter sous ses traits
Alors que cependant j’ai cette face cachée
Mes amis, je suis perdu, j’ai besoin de vous là
Je ne veux pas sombrer dans ce qui s’approchera

Vhaidra, Poète de l’Empire*

De ce corps qui n’était point à moi
De cette chose qui me dictait sa loi
De la courte vie canine que j’ai subi
De cette souffrance jour et nuit

Maintenant tout est désormais clos
Ma vie peut reprendre son court
Seulement le soucie redevient lourd
Une vie de chien est comme l’écoulement de l’eau

C’est une vie facile et sans aucune réflexion
Votre conscience ne vous fait aucune diction
Seule occupation, celle de votre survie
Seule souffrance, ce qui nuit à votre vie


La vie continue dans son charme quotidien
Les affairent reprennent comme avant
Je suis seulement décalé après cette vie de chien
La suite s’ouvre sur mon futur maintenant

Vhaidra, Poète de l’Empire*

Après la rencontre, pendant l’amour
Certains décident d’une union pour toujours
Lié pour le meilleur et pour le pire
Amoureux des pleures aux rires

Une jeune demoiselle nommée Hotohori
Une femme exquise et des plus charmantes
Est prête maintenant à poursuivre sa vie
Dans des joies futurs et une passion ardente

Après des fiançailles entre ses deux amants
Il est désormais tant d’unir ce couple aimant
Maintenant, leurs futurs ne font plus qu’un
Vivre main dans la main pour le bien de chacun

Une cérémonie émouvante et plaisante se produisit
Qui par la suite par une magnifique fête fut suivie
Dans ce bonheur fusent les rires et les chants
Nous vous souhaitons nos félicitations et l’amour pour longtemps

Vhaidra, Poète de l’Empire*

Vous qui êtes une personne des plus honorable
Je sais que vous n’avez pas toujours eu confiance
Seulement maintenant cela n’est plus qu’une fable
Nous avons lié ensemble des liens sans méfiance

Vif, rapide, intelligent vous avez comme qualité
J’aurais voulu pouvoir par ma plume vous égaler
Sachez cependant que je vous estime mon cher ami
Et j’aurais tant voulu pouvoir vous aider au delà de la vie

Seulement je vais m’éteindre et mon désir avec moi
Vous qui êtes optimiste saurez vous fêter cela
Je l’espère car ma mort ne sera pas dure comme bois
Mais plutôt douce comme la senteur du lilas

Faites avancer toujours l’Empire vers la Gloire
Vous Messire Amadeus qui êtes si dirigé vers l’avenir
Ne doutez jamais de votre condition et continuer à rire
Maintenant je n’ai plus qu’à vous dire au revoir.

Vhaidra, Poète de l’Empire

On vous dit brave, on vous dit fort
Et moi je ne nierai aucune de ces qualités
Je n’avais pas l’air d’un soldat dans la tête ou le corps
Mais vous, un grand exemple vous avez su me montrer

Vous fûtes pour moi un idéal que je ne pourrais jamais atteindre
Seulement je m’y suis essayé de long soir durant des mois
Je me suis senti comme jeune une nouvelle fois
Mais je ne suis pas un guerrier et je ne suis pas à plaindre

Oui vous Général, vous demeurez seul et froid
Je vous plaints de vivre ainsi dans cette tristesse apparente
Mais c’est aussi une preuve que dans le contrôle vous êtes le Roi
Je m’incline devant vous bien bas, devant une droiture fort existante

Peut être vous ne m’appréciez pas mais je vous estime
Et inutile de vouloir me dire à quoi cela rime
Car je veux que vous sachiez que vos efforts ont marché
Et que maintenant, je me sens un fier guerrier.

Vhaidra, Poète de l’Empire

Vous êtes une personne a qui j’ai appris
C’est étrange mais avec vous j’aimais parler du passé
Tel l’élève et le professeur vous m’écoutiez
Mais sachez que vous me dépasserez dans votre vie

J’ai appris au sein de l’Empire à vous connaître
Et nous n’avons jamais pensé à paraître
Seulement vous, vous avez l’art de la guerre
Alors que moi j’ai l’art de la plume de verre

Ce ne sont pourtant ces différences qui nous ont éloigné
Car vous sembliez fascinés par ce que je pensais
Peut être ai-je éveillé chez vous l’homme curieux
Et j’espère avoir pu vous apprendre au mieux

Ne désespérez pas dans le malheur mon cher ami
Car ce n’est jamais dedans que l’on trouve une sortie
Tel l’aigle vous devez affronter vos déceptions une à une
Sans faiblir demeuré fort et ne montrer aucune lacune

Vhaidra, Poète de l’Empire

Vous étiez un poète nain et j’ai trouvé cela insolite
Vous n’étiez pas une curiosité mais plutôt une passion
Oh que j’ai aimé parlé à vous dans ces tavernes avec de la boisson
Nous étions nourris par ce désir de ne plus être deux solistes

J’ai aimé composer de tendre vers avec votre personne
Cette soirée restera pour moi un grand souvenir
Même si maintenant je ne peux plus, croyez en l’avenir
Nous ne nous oublierons pas alors que les cloches de la mort sonnent

J’ai adoré les alcools que vous m’avez proposés
Ils sont aussi brûlant et vif que vous Bombur
L’absinthe cependant fut harmonieuse et de forte bonne qualité
Elle était comme nous lors de nos compositions si sures

Maintenant cher Ami, je dois changer de route et partir
Ce n’est pas avec plaisir que je quitte l’Empire
La maladie m’emporte, mais restez sur le bon chemin
Car on ne sait jamais ce que peut annoncer demain

Vhaidra, Poète de l’Empire

Dave

Une personne qui me fait penser parfois au Général
Il est différent par sa race mais si humain par son comportement
Dave, ce que j’ai longtemps aimé et admiré, c’est que tu es loyal
Et de ta morale tu n’as jamais fléchis pour rester quelque de patient

Je te remercie encore t’avoir pu écouter ma nièce
Et d’avoir remit ce précieux collier qui nous lie
Jamais je n’aurais pu faire preuve d’autant de finesse
Je vais pouvoir partir en ayant moins de soucis

Je n’aurais jamais pu te remercier comme il fallait
Pour moi cela est important et je suis vraiment désolé
J’espère que tes blessures morales guériront un jour
Car je pense que les miennes resteront pour toujours

Cher Grenouille, nous avons cette expérience
Fort désagréable pour nous deux, mais nous avons survécu
Mais je dois m’en aller et quitter la vie qui est une chance
Bon courage pour la suite, et rien n’ai jamais perdu

Vhaidra, Poète de l’Empire

Charmante, élégante et combattante
Oui je parle de vous chère grande Dame
Vous êtes une très jolie et belle femme
J’aurais plus voulu pouvoir vous parler de choses aimantes

Votre mariage bien que je vins vers la fin m’avait réjoui
Et on me dit que ce fut une très grande cérémonie
Je m’en veux quelque peu de n’avoir vu cela
Et j’espère que vous me pardonnerez de n’avoir pu être là

Je ne veux pas accabler une dame de mes tourments
Car je suis un homme âgé et mourrant
Je sais que vous arriverez à vos buts ensuite
Car vous n’hésitez pas à aider de suite

Je vous dis le plus simplement adieux
Et vivez pleinement le futur car rien n’est fini
Je vous souhaite tous les bonheurs à vous et à votre famille aussi
Maintenant je dois remettre ma vie à Vanilius ce dieu

Vhaidra, Poète de l’Empire

Mes chers amis vous qui je n’ai peu connu finalement
Je ne sais comment vous vous portez, seulement
Votre vieux poète et sur le point de faillir
Et donc de quitter cette vie et devoir partir

Angelo, tu resteras gravé par ces actes héroïques
Bien que inconscient tu fus quelqu’un d’épique.
Leny, jeune et qui a du caractère, veille sur eux
Tu es peut être la plus responsable de ces tristes heureux

Sharaa, tu es morte et je vais te rejoindre dans les cieux
Je n’avais donc pas à devoir te faire mes tristes adieux
Edhel, ma compagne de fortune dans ce grand théâtre
Tu sauras te débrouiller ma tendre, sans moi vieil acariâtre

J’espérer pas que ce moment n’arrive avec rapidité
Seulement il est si proche que je le sens crépiter
Je ne peux rien faire sauf vous souhaite une vie plus agréable
Et si cela est possible, pouvoir vivre heureux, assis à une riche table

Vhaidra, Poète de l’Empire

Chère nièce, tu es morte, et tu es revenue tout de même sur Vesperae
C’est un cadeau que l’on t’a fait dommage que Fozzy l’est gâché
Mons sang bouillonne lorsque j’entends son nom maintenant
Enfin c’est la fin et je n’aurais rien pu faire pour te soutenir moralement

Peut être que ce court poème pourra t’aider mais j’ai tant à te dire
Vis heureuse si tu le peux, et je suis désolé de n’avoir pu être là
Car sans moi ta vie serait une lumière qui aurait pu luire
Je m’en veux, et je m’en voudrais toujours du mal du à cela

Peut être le fait que tu sois une louve sera un nouveau départ
Ce n’est peut être pas une simple malédiction pour te punir
Je ne pense pas que cette forme doit te faire fuir
Soit fière de ce que tu es et avance sans te retourner et sans écart

J’espère pouvoir partir sans avoir trop à te regretter
Si je te regrette, tu étais comme ma fille et je t’ai perdu
Pourquoi suis-je ainsi et t’aider n’ai-je pu ?
La vie est injuste et jusqu’à la fin, cependant comme un père je t’aimerai

Vhaidra, Poète de l’Empire

Oh vous, Empereur qui se dresse parmi les Grands
Vous êtes parti si tôt, mais pour moi aussi il est temps
La seule différence sera que vous serez toujours en vie
Alors que moi, je disparaîtrais loin des soucis

Je vous ai toujours estimé et respecté
Vous voir en ami serait vous insulter
J’ai pleuré votre départ, vous qui êtes talentueux
Seulement sachez que vous régime m’a rendu heureux

Ce sont sans doute cet espoir que vous m’avez insufflé
Qui m’a permis de continuer d’avancer sur ces chemins
N’oublions pas tout de même que avec vous j’ai cru à la destiner
Maintenant je n’ai plus qu’à avancer vers ces si beaux jardins

J’espère que vous reviendrez car ici vous êtes une légende à jamais
Pour moi vous serez toujours présent dans mon esprit
Car on…

Ce sont les ébauches d’un poème que je n’aurais pu terminer. Je tremble beaucoup, le temps pour réfléchir et construire me manque. Je vais donc devoir vous dire le plus rapidement possiblement possible ma pensée.
Cher Empereur vous avez amener l’Empire vers la douce lumière du soleil. J’aurais voulu vous revoir avant ma mort mais sachez que vous avez toute ma sympathie bien que cela ne puisse vous apporter quelque chose. Empereur, je vous dis adieux et sachez que Amadeus est aussi un grand homme qui travail à merveille.
« La flamme de la justice ne s’éteint jamais, elle peut juste perdre de sa luminosité »

Vhaidra, Poète de l’Empir…

Nota d’un Bibliothécaire : Certains poèmes n’ont pas eu de titre et ont donc un titre par défaut, cela concerne aussi la signature de certain poème pour reconnaître leur authenticité vis-à-vis de leur écrit pas le poète Vhaidra.. Ceux si sont noté par ce symbole sur le coté « * »