Trois coups secs, la poignée fut appuyée, la porte ouverte, O’Wolf entra dans le bureau...
Il ne sembla par forcément heureux ni mécontent mais montrait seulement une expression sérieuse, d’homme qui allait faire son devoir.
Il marcha au centre de la pièce silencieuse et se stoppa devant le bureau de son " Lili "... Il tenait dans sa main de belle feuille de papier blanche qui pendouillait jusqu’au milieu de sa cuisse...
Il toussota pour s’échauffer la voix :
" Y’a quelqu’un ?... Général ?... "