Braörn s'installa devant la porte, passa une main dans sa barbe pour la remettre en place, puis se prépara à frapper...D'un geste ample, plein de grâce, subtilement découverte par son gant en acier, et emplie d'harmonie, il frappa, comme un ours mal léché sur un chasseur assez idiot pour vouloir lui tirer dessus, et après avoir tapper à la pauvre porte, qui du encaisser dument le choc, le nain, dans un élan de politesse et pour ne pas rater son entrée, se mit à l'affut du moindre bruit désignant la permission d'ouvrir la porte, comme une mangouste à l'affut du prédateur venu détruir son terrier.