Un autre fléau des portes...

Braörn cherchait, inlassablement, la porte du soit disant général nommé Alliage. Errant dans les couloirs en regardant sur les portes et en demandant aux quelques gardes en factions.

-"Alliage c'un nom zarb'...c'p'tet un vieux gars tout en armure..Où bien l'a découvert un alliage...Ou alors c'p'tet juste un pekno qu'c'est engagé plus tot qu'les autres."

Il continua à vadrouiller avec son lourd sac sur les épaules jusqu'a arriver devant la porte...Le nouveau fléau des gonds de porte en bois était arrivé. A la manière si brutal mais en même temps si naine comme son cousin Godrïn, Braörn, emplie d'une jois extrême de pouvoir frapper comme un gnome passionné par un livre très ancien à moitier rongé par le temps et les vers, tappa violemment de son poing ganté sur la porte qui bougea sur ses gonds comme du linge qui se balance souffler par l'éternuement d'un troll enrumé. Après ses sacades toutes en ..."finesse" il attendit que l'homme daigne lui répondre.

Braörn, haussant les épaules par simple réflexe, ouvrit alors la porte en passant sa tête de jeune nain roux dans l'entre baillement. Il voulut alors, pour ne pas plus énnerver, apparament, le Général, refermer la porte en douceur mais ce fut l'effet contraire qui se produisit, le vent sortit d'on ne sait la faisant claquer comme on s'amuse à giffler les gobelins avec des gants à pointes...
Approchant avec un existation mellant une crainte sans borne à l'idée de faire du bruit même si le plancher grinçait sous ses bottes. Il s'inclina autant que son sac le lui permit avant de commencer à parler.

- Bah euh, salut ! C'bien toi Alliage? L'général? ..

Il n'attendit aucune réponse d'une question bête alors que c'était écrit sur la porte en gros.

- Bon ben, euh voila. Chuis une recrue pis..j'm'appelle Braörn, pis chuis un nain..Ah, c's'voit c'vrai. Pis bah j'veux m'engager dans l'armée ! Faut dire qu'c'le seul truc que j'sais faire...

Il regarda alors le général, avec des yeux de lapins embué de larme si mignons qu'on n'aurai même pas pu tuer un gobelin avec une machette à coté. Il attendit la réponse du général.

Le nain s'avança pour prendre le parchemin puit hocha la tête

- Bien m'sieur ! R'voir général !

Il trotina vers la porte qu'il ouvrit délicatement, puis referma de la même façon, avant de faire un bruit du tonnerre en s'emmelant dans ses lacets et en tombant de le couloir.

- Ca va j'ai rien!

Puis il se met à trotiner vers la caserne, le sourire aux lèvres.