Simple arrêt.

Alors que l'aurore venait simplement de se faire voir, que la rosée matinal rafraichissait Bélériand, un homme chaudement vétus s'avançait parmi les sentiers recouvert d'une neige épaisse.
Une cape par-dessus son corp, le capuchon rabattu sur son visage, il s'aidait d'un baton afin de traverser les routes glissante et gelé. Regardant les soldats positionné dans divers endroit, les villageois vaquaient a leur occupation malgré le Lanjis qui semblait trés dur.
Il s'avança vers la taverne, et ouvrit la porte, entrant tristement vetu, telle un majestueux corbeau de saint jour jadis, il ne fit aucune révérence au tavernier et a ses clients, puis alla s'assoir au fond de la pièce, déposant l'appui au coin de la table.

"Quel taverne affreuse..."

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 06/03/2006

Un second homme arriva, le visage faiblard et pâle, il fixa le recoin de la taverne a la recherche de quelqu'un. Ses yeux perçants et froid se posa sur l'encapé, puis il s'avança lentement, une démarche impérial et sur de lui.
Les cheveux blanc, tombant sur les épaules, une fine bouche, deux pupilles violette tronant les yeux.
Habillé simplement d'une cape aussi sombre que celle du premier voyageur, mais le capuchon rabattu en arrière, son visage était voyant.
Il s'arreta près de l'homme et lui dit d'une ton plus qu'amical.

-Content de vous revoir...Nous voiçi donc a Bélériand...Belle cité, je ne l'avais jamais vu auparavant, sauf pour envoyer Mort, mon messager.

-Que venons nous faire par içi seigneur ? Cette cité m'est remplis de souvenir et juste a l'idée de la revoir...

Il serra son poing ganté d'un cuir noir et resistant, puis reporta son regard sur la liche.

-Voici donc votre nouveau "corps" ? Combiens de temps va t-elle resté ?

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 06/03/2006

Une légère lueure verte apparu dans le regard, puis s'effaca rapidement. Regardant les clients de la taverne, il souria d'un air mesquin puis reporta toute son attention sur l'ancien Commandant de l'Empire.

-Vous verrez bien...Pensez seulement au mots traître. Puis ne vous inquietez pas elle resteras le temps qu'il faudras.

Il s'installa sur l'une des chaises a proximité de la table, puis repris un air totalement nochalant, un regard denué de sentiment gardant un air froid et distant, il repprenait simplement ses anciennes habitudes

-Un corps humain...Toute idée d'humanité m'horrifie amplement...Cette vie qui prolifère a chaque instant, ces sourire joyeux a l'approche des fêtes...Misérable cloporte...C'est a présent que je me demande pourquoi Elmina m'a laissé la vie sauve quand elle m'avait entre ses mains.
Ce sentiment de fraternité les perdras tous...

(Désolé mais j'ai une question....comment es tu entré dans Bélériand alors que nos avant postes sont bourrés de soldats et que la ville et protégé pas de hautes murailles. EN plus il fort peu probable de voir Hogrim se balader dans Bélériand sans que personne ne le remarque.)

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 06/03/2006

(J'ai aucune arme, Hogrim a une apparence Humaine, donc méconnaissable, et Rodo-do mis a part porter une cape qui le recouvre n'a rien de dangereux. Et j'ai cité dans le premier poste l'apparence d'Hogrim, donc il est fort probable que personnes ne le reconnaissent.
M'enfin si je me trompe, désolé et supprimez simplement le post)

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 06/03/2006

Hogrim se leva de son siège, regardant a présent Rodo-do dans le blanc des yeux, d'un air implacable et froid telle le juge de la mort regardant ses victimes d'outre tombes.

-Restez dans cette cité, et surveiller.

Suite a ces mots, la liche se tourna d'un geste, la cape volant dans le mouvement avec une grace inhabituelle, puis s'en alla d'une démarche impérial vers la sortie.

Rodo-do fixa le colporteur de la mort, gardant un certains mépris pour l'homme qui venait de s'en aller, et telle un enfant le suivait du regard avec curiosité sans faire le moindre mouvement.
Il venait de terre lointain, emmenant des idées destructive, qui n'aboutirais jamais face au défense Bélianrandoise.
Perdant la notion des choses, et du temps, l'ancien Commandant se leva de sa chaise, déposa 4 pièce sur le comptoire, et s'en alla avant que le tavernier puissent se plaindre de l'argent Roland.
Il s'avança parmi la pénombre de la nuit, gardant une certaine clarté grace a la neige de Lanjis. S'aidant de son baton, il s'avança vers la place central gardant cette air inquiètant et lugubre.

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