La bataille va commencer...

Les tambours de guerre résonnent loin, loin dans les plaines et les forêts. Des chants de guerre mêlés au bruit de pas et des armes se font de plus en plus fort. Auron, et le chef minotaure parlent aux troupes en criant haut et fort :

492 ans ce sont écouler depuis la guerre qui nous ont opposer aux humains ! Mais cette fois nous sommes plus fort et plus variés ! Écoutez , Eux ils ont peur de tuer alors que vous vous le faîtes chaque jour pour survivre ! Ils ont le ventre noué et le coeur serré ! Montrez leurs ce que vous valez !

Les cries de guerre mêlés de joie se faisait entendre. Doucement ils se mirent en position de combat, Tout orcs combattant au corp à corp était en 1ère ligne accompagner de certains Ogre à deux têtes. Les archères elfes étaient positionnées en avant dernière ligne. Les minotaures se faufilaient entre chaque ligne tenant une porte chacun pour que les flèches ennemies n'atteignent personnes. Ils étaient prêts ,armés, La rage de vouloir vaincre et de tuer étaient là. D'une cadence quasi-parfaite avec les sons de tambours, ils marchaient rapidement, voyant la tourelle au milieu de la forêt. Les humains présents dans la tourelle pouvait apercevoir une masse d'environs 150 "monstre" se diriger vers eux. Une corne résonne au loin, les personnes de la tourelle entendent et voit l'armée ennemie proche de la forêt. Les plus rapidement possible l'humain fit un feux d'alarme pour avertir Beleriand.
L'armée, avant d'entrer dans la forêt, Attendaient quelque chose. Auron regardait loin derrière eux, et voyait les chevaucheur de Ryder arrivés à pleines allures accompagner cette guerre. Ils n'étaient que 6, mais ce qui comptait étaient leurs participations. Les chevaucheurs se placèrent au bout de chaque ligne. Au moment où ils commencèrent la marche, Un corne résonne au loin mais pas celle de la Horde, mais d'autre personne. Auron regarda qui aurait put faire sonner cette corne quand il vit deux personnes. Karl et Kurogané le prophète étaient là, Armés et prêt à se battre contre une armée mieux préparer et plus forte. Le chef minotaure sortit des rangs chargeant cornes en avant les deux hommes. Augmentant sa vitesse et surpris, Kurogané fut percuter sauvagement ce qui le laissa au sol, inconscient et deux troues dans le torse. Le minotaure regarda Karl qui était confiant. D'un geste rapide, Karl prit son arme et fonça sur le minotaure. Tout les autres regardèrent le spectacle comme si cela était un amusement. Karl glissa pour passer entre ses jambes mais le minotaure leva le sabot et le percuta violament dans le ventre. Karl aussi inconscient avec les côtes briser ne pouvait plus rien. La personne dans la tourelle vit le massacre d'une seule de ses bêtes et pensa qu'il n'y avait plus de victoire et que leurs forces étaient impossible à arrêter. Le chef minotaure se remit dans les rangs rapidement et avancèrent dans la forêt. D'un geste rapide pour ne pas être prit, le garde de la tourelle descendit rapidement, enfourcha un cheval et galopa vers la citée. Les tambours reprirent, et la marche avec. Les soldats pénétrèrent dans la forêt quand Auron dit "Stop d'une voix forte et clair. Il dit à une archère Elfe de passer devant et de voir si piège ou fossé était mit en place. L'elfe avançait lentement déviant les troupes de chaque piège. Au bout de quelques minutes de marche les troupes entendirent un crie d'orc et regarda devant l'orc qui se tenait au bord d'un fossé. Il avait lâché sa hache pour rester en vie. Deux minotaures attrapèrent la mains du guerrier et le ramena sur la terre. Ils passèrent près de la tourelle mais ne firent aucun dégâts à cette dernière. La suite de la forêt fut plus dur mais chacun s'entraidait comme il pouvait. A la fin de la forêt, les troupes sortirent de la forêt en file indienne, certain fatiguer. Chacun voyait maintenant Belariand. La petite masse noir se mit en formation comme indiquait les chefs derrière. Le joueur de tambours s'arma de deux haches et joua du tambours avec le côté d'une lame et le malheureux qui ont fallu mourir dans la forêt prirent leurs armes de rechange. Tout était prêt, les guerriers ne pouvaient plus reculer, ils regardèrent le paysage avant de regarder la cible. Les archères prirent une flèche et se prépara directement. Les ogres prirent d'énorme massue cloutée, les minotaures tenaient les portes entre chaque ligne et à différent endroit pour avoir une protection contre les flèches et les orcs avaient tous des armes de mêler. Les chefs donnaient les dernières instructions, La bataille allait commencer...


=Hrp= Voilà, J'ai essayer de faire attention à tout les détails déjà dit, Je pense ne pas en avoir oublier, Si j'en ai oublier dîtes le ^^ =Fin Hrp=

La corne qui avait retenti, les feux d'alarmes... Neyréa sentit la peur la saisir au ventre, et fila en direction des remparts. Elle regarda un instant l'armée qui cheminait vers la cité, puis se mit à hurler des ordres un peu partout. Bientôt, une ligne d'archers se mettaient en ligne sur les remparts. ils posèrent chacun un carquois grandement rempli devant eux. Les lourdes portes de la cité pivotèrent en grinçant, et des soldats sortirent, tous en armue, lance à la main, épée à la ceinture, brandissant leur bouclier au blason Impérial. Il se mettèrent en formation compacte devant la porte.

- Allez me chercher Rukainn, et Derfel, godrïn, enfin tous ceux que vous pourrez trouver, que chacun se mette à son poste.

Bien Dame, nous allons les chercher !

Le messager affolé partit en courant, trébuchant à chaque pas pour aller prévenir tout les impériaux. Neyréa prit place parmis les archers, au centre de leur ligne, et d'un même mouvement, tous prirent un projectile, et l'ajustèrent à leur arc.

- Les armures ont une faille au cou, et juste au dessus de la ceinture... Visez la tête ou le visage chez les plus robustes...

Ainsi parlait Neyréa, alors que chacun faisait de son mieux pour ajuster sa cible...

(HRP : C'est pas mal, mais pour les tours de guet, tu aurais pu nous laisser faire les feux d'alarme et les cornes. Occuppe toi juste de tes hommes ^^. Mais c'est génial, franchement bravo. Aller, bonne bataille)

Auron regardait l'agitation devant les remparts, ils étaient aussi prêt qu'eux pour la bataille. Auron commença à chanter doucement et fini aussi. Puis les troupes chantèrent en coeur, dans leurs langues, haut et fort pour que les humains entendent leurs chants et pour que la peur les prennent, les paroles étaient compréhensible et ils disaient :

Tlizi groumjz wleql wiri our,
Tlez qomcuizt hozt by tlez baj huqk
But wi riturm guejij by
Martl to taki tlin agaem amj femahhy to lavi a louzi

Wi hevij em tli zlaji,
Ixehé qevehesateom,
Zéparé fron our brotlirz,
Burt wi riturmij to avimgi tlier ninory


Martl guejiz our axiz!
Javama protiqtz uz!
Wi wehh gaem!
A bittir jiztemy ez tliri!

Our fatlirz amj our brotlirz,
fouglt, for tli hefi,
Of tli orqz amj amotlir raqi ridiqtij,
Umteh jiatl wi wehh traqk!

Our axiz em bhooj,
Our arnourz janagij by tli qonbat,
Amj our ragi wehh gevi uz qouragi!
Tli orgamesateom ez rejgiz amj tli futuri ez qomcuirij to uz!


Tli lunam omiz wehh pirezl,
our hefi jipimjz om
Burt, our amqiztorz hift uz our liretagi
Amj wehh taki wi et wetl two lamjz!!

Et à la fin du chant toutes l'armées crièrent, meuglèrent de rage et d'envie de sang. Tous avancèrent d'un pas près à charger. Les minotaures tenaient les portes haut dans le ciel pour proteger leurs frère et avaient la tête baisser pour charger.

[Hrp: je tenais déjà à vous précisé que passer la forêt aussi facilement est un peu trop.. bizarre voyez vous, car nous avons des pièges, des fossés remplit de rondins à l'interrieur. Tes troupes n'auraient pas su avançaient si facilement.

(demande de Misakith: Si on perd, on a un lot de consolation?)]

Rukainn arriva dans son armure blanc. Du haut des remparts il regarda la troupe ennemie s'avançait. Il leva un bras et un drapeau se fit lever. Une troupe d'archer séparé du reste prirent les flèches de feu et décochèrent en direction du foin entreposer.

Très vite un épais nuage de fumée couvra la forêt, les villages avoisinants et Bélériand.

- 'S'ils croyent passer comme ça. Attention aux fossés..'

Il se tourna

- Prévenez Derfel, sa cavalerie doit être prête

Devant l'armée ennemie, il y avait de grands fossés remplie de rondins de bois bien taillé que la terre et l'herbe, de plus la fumée couvraient totalement. Quelque pas non loin, il y avait aussi un faux campement servant de leurre et de gain de temps pour l'Empire.

A quelques mètres des fantassins impériaux, tous en rang, il y avait un grand fossés tout aussi remplie de rondin de bois et large de plus d'un mètre. Sur les remparts, il y avait toutes une série d'archer tirant à volonté sur les soldats à la peaux vertes.

Suffit d'un lever de drapeau pour que les archers, prirent les flèches enflamées et tirèrent sur eux.

=Hrp= Erf, Bah désolé =o je rajouterai ça dans mon 1er texte x) , Si vous perdez =o Votre lot de consolation c'est... Mon portrait avec marquer we are the looser. *Sort* Y'aura pas de lot de consolation =Hrp=

L'armée prêt à charger vit le nuage arriver mais garda toujours sa position. Après que la fumée soit partout autour d'eux, la visibilité de chaque monstre était diminuer grandement et certain toussait quelques peu. Le tambour résonnait encore mais le son s'affaiblissait à chaque instant pour laisser place à un silence énorme. Seules les respirations, le foin en train de brûler et les bruits des armes se faisait entendre. Ils en avait marre de rester sur place et voulait enfin dépouiller l'armée ennemie.

Quelque part dans une cave de stockage de l’Empire dans la Capitale, Misakith était avec une dizaine d’homme, il avait pour but de placer les réserves d’armes et de nourriture dans les camps des soldats de l’Empire pour une fluidité dans le ravitaillement des troupes.

-« Bien, nous devons remonter ces caisses à la surface et utiliser ma pauvre charrette pour les déplacer plus facilement. Faites attention, tout cela est extrêmement fragile. »

Le Marchand supervisait et coordonnait déplacement des caisses en donnant un maximum de consigne. Ces consignes commençaient à exaspérer les jeunes recrues dans l’armée de l’Empire qui devaient exécuter cette mission de routine alors qu’ils désiraient dans la vigueur de leur jeunesse combattre contre l’envahisseur.

-« Deux par deux, une caisse après l’autre, n’allez pas trop rapidement. Vous Soldats, oui vous celui avec le casque mit de travers, dites moi si la charrette est revenue. »

Le soldat regarda Misakith l’air désemparée et il se dépêcha de monter. A la surface, une odeur de fumée régnait et il remarqua que la charrette venait de finir son quatrième voyage jusqu’au camp. Il descendit en courant.

-« Messire Misakith, elle est de retour. Nous pouvons commencer le chargement. »

Le Trésorier de l’Empire remit sa cape en place et il se frotta les mains.

-« Bien, il ne nous en reste plus qu’une de toute façon. Finissez de vider cette cave et charger la charrette. Je remonte pour donner les consignes. Surtout n’oubliez pas de fermer la maison avant de partir, c’est très impoli de ne pas laisser les lieux dans l’état qu’on le trouve en arrivant. »

Misakith monta et sortit de la maison. Il frissonna quelque peu en attendant le début de l’assaut. Il pensa à Lunha puis se dit qu’il devait se dépêcher d’effectuer l’approvisionnement du camp. Il remarqua deux soldats qui faisait vite et mal ce qu’il leur avait ordonné.

-« Doucement, j’ai dit. On livre des marchandises de bonne qualité. C’est un pour une guerre et notre Empire, non pour la foire aux bœufs de Trigorn ! »

Le Marchand s’installa aux rênes de la charrette. Quand les soldats eurent fini, huit d’entre eux grimpèrent en arrière et les deux autres verrouillèrent la maison de se mirent devant.

-« Bon on est dans les temps, en avant ! »

Il ordonna à son cheval d’avancer et durant que le cheval qui connaissait maintenant le chemin instinctivement allait vers le camp, Misakith complétait sur sa carte de l’Empire d’une croix, la cave qui venait d’être vidée.

-« Bon boulot, avec ça on a de quoi tenir. Je ferais en arrivant un rapide inventaire. »

Une colonne de cavaliers, tous en armures et portant de lourdes lances de guerre approchait des porte. Les chevaux imposants portaient leurs harnois de fer, avec une plaque sur leur front, gainée d'une lame. Le poirtrail des bêtes était renforcé d'une armure sanglée au garot afin de pouvoir charger les soldats, et le reste du corps protégé par une cotte de maille.

Derfel descendit de sa monture, une jument d'un noir d'ébène,puis retira son heaume, et s'avança vers Rukainn et Neyréa.

- Les cavaliers sont prêt. Je crois que pour la formation en tenaille, c'est un peu tard. Nous les attaquerons de front.

*Remet son heaume, et rabat les joues pour qu'on ne voit que ses yeux*

- Adieu mes amis, puisse les dieux nous donner la victoire !


L'Elfe gris se hissa sur sa jument, et reprit sa lance. Après un bref signe de tête vers Rukainn, et un salut vers sa chère cousine, il éperonna Llamrei, pour sortir de la cité. Toute la troupe suivi dans un bruit de fer cognant sur les dalles. Arrivés devant les mur de Bélériand, les cavaliers s'espacèrent pour former une double ligne bien aérée.

Derfel trotta devant les lignes, pour haranguer ses hommes.

- Gardez vos position quelle que soit l'issue de cette bataille. Nous défendons un peuple, brisez ces vermines, tuez les tous sans exception, pas de pitié, car eux n'en auront pas pour nos femmes et nos enfants. Ceci est un jour de gloire, on se rapèlera de vous comme des héros. Pour la Gloire !

GLOIRE !

Les soldats hurlèrent en coeur après leur chef. Derfel frappa les flancs de son cheval avec la hampe de sa lance, puis commenca un galop éffrèné. Les soldats suivirent en formation. Toute la ligne traversa les flammes a toute allure, en hurlant leur défi à la mort. Le fracas des sabots était tel le tonnerre, et projetait des morceaux de terre à chaque élant. Comme un seul homme, les cavaliers abaissèrent leur lance, et fondaient sur la masse grouillante des orcs.

Quand les hommes arrivèrent à la hauteur de l'ennemis, le choc fit trembler la terre, comme à la veille du chaos imminent...

Partout ce n'était que fracas, cris d'agoni ou de rage. L'odeur de sang rendait le champ de bataille suffocant. Derfel avait laissé sa lance fichée dans un ennemi. Il libèra son épée Narmacil de son fourreau, et se mit à taillader a droite et à gauche, tout et faisant tourner sa monture.

Avec la mêlée, seulement les trois quarts des cavaliers étaient encore debout. Dans les 80 restants, tous étaient en difficulté. En tentant d'apercevoir ses troupes, Derfel sentit un puissant choc, suivit d'un meuglement, qui le propulsa loin de son cheval. Il tomba lourdement, et perdit son casque tendit que sa jument fuyait en hénissant de peur.
L'elfe se releva, épée à la main pour se retrouver devant une masse imposante. Il leva les yeux sur un minotaure furieux. Un coup de hache plus tard et Derfel se retrouvait à terre, un peu plus loin. Du sang suintait de son armure fêlée au niveau du ventre, mais sa cotte de maille tenait encore. Il se releva, assènant des estocs à l'aveuglette. La cavalerie connaissait une difficultée non attendue...

Apercevant un cavalier lèger qui était à l'écart, il lui fit signe de sonner de la corne. Un son clair résonna jusqu'aux murailles de Bélériand.
Les cavaliers tombaient.

- Rassemblez vous, tenez vos positions. RASSEMBLEZ - VOUS !

Derfel tentait vainement de regrouper ses troupes, pour tenter de regagner la cité, et la bataille faisait rage...

Godrïn se hata de se poster derrière la grande porte. Il posa une main sur la baliste qui pointait la porte. Si une de ces bestioles fracassés la porte, ou moins elles moureraient des éclats de bois ou toute la pique coincé dans le ventre. Il saisissa sa hache à deux mains et monta lentement sur les remparts, les échelles n'étant pas faites pour les nains. Il s'avanca vers Rukainn et Neyréa.

-La baliste est prête mes grandes gens! Héhé. N'est prêt à couvrir la retraite aussi..

Il posa le bout du manche de sa hache sur les remparts et posa sa grosse main sur la lame de fer, se reposant ainsi, et observa comme il pouvait le combat.

Godrïn envoya un coup de coude à Rukainn.

-Faut agir Rukainn! Vont pas s'en sortir comme ça..Faut envoyer des renforts.

Il reprit sa hache, montrant qu'il était volontaire. Il observa les orcs avec un large sourire.

Rukainn tourna la tête vers Godrïn.

- Je le sais Godrïn. Mais nous ne pouvons pas aider la cavalerie avec les archers, vu la visibilité réduite.

Il regarda l'épaisse fumée grisâtre. Puis il leva le bras gauche. Une corne se fit retentire, puis un bruit lourd de pas et d'armes. Une centaine des trois cents soldats étaient prêt à intervenir.

Rukainn se retourna et s'en alla du rempart. Il tourna la tête vers sa femme

- Je te laisse t'occuper des troupes, avec Godrïn.

Il s'avança et prit son cheval. Il sortit calmement de la capitale et alla devant les portes, les soldats étaient tous réunit là. Le Grand Conseiller se mit en premier et fit retourner son cheval vers eux.

- Mes amis! L'heure de la victoire à sonné! Pensez à vos femmes et à vos enfants! Priez pour vos Dieux aussi. Et allons massacrer ces peaux vertes!!

Rukainn retourna encore son cheval vers la bataille, dégaina son épée, la brandit en l'air puis descendit sechement vers le point. La centaine de soldats s'avancèrent en poussant des cris de guerre plus ou moins grave et s'avançant dans l'épaisse fumée. Rukainn les suivit de très près.

La pluie commençait doucement à tomber, signe que la fumée sera bientôt partie

Godrïn cria du haut du rempart.

-Héhé! Bonne chance mes grandes gens! Ramenez moi leur têtes! Ah ah!

Puis il se tourna vers Neyréa à coté de lui.

-Bokay ma grande gens, je redescends pour la baliste, appelez au cas où!

Il redescendit de sa même manière lente en marmonnant dans sa barbe sur l'étroiteté de l'echelle et alla se posté à coté de la baliste, hache a la main

Neyréa regardait les hommes marcher avec une inquiètude non-feinte. Puis elle se tourna vers Godrïn.

- Très bien, maitre Nain. Surtout gardez bien votre poste.

Elle donna ordre aux autres troupes de rester en formation, en rangs serrés. Et regagna son rempart, constatant l'inefficacité de ses archers, du moins pour le moment...

*murmure*

- Bonne chance Rukainn...

La bataille faisait rage, de nombreux morts étaient compté dans les deux camps. La rage de vaincre du coté des peaux vertes leur fournissaient plus de force qu'un troupeau de taureau enragé.

Rukainn suivit des fantassins s'enfoncèrent dans la forêt, dont le sang et la sueur suivit de la fumée faisait suffoqué les soldats, mais tous étaient courageux et tous voulaient revenir en un seul morceau.

Le Grand Conseiller recherchait avant tout Derfel et ne cessez d'hurler le nom du chevalier, mais le bruit des lames et des flèches suivit de l'agonie des soldats adverses et des bélériandois étouffés ses hurlements.

Un Orc arriva en courant vers Rukainn, celui-ci descendit son épée et frappa à plusieurs reprise à la tête puis tourna son cheval et l'acheva d'un coup d'épée dans l'arrière du crane. Retirant son épée, regardant les fantassins eux aussi en difficulté maintenant mais pourtant les corps des peaux vertes tombèrent, tout autant que les humains.

Un minotaure arriva à la charge derrière l'hybride, de sa grosse hache, il frappa juste à coté, heureusement, aveuglé par la fumée qui disparaissait de plus en plus.

Plusieurs Orcs arrivèrent devant lui, lui bloquant le passage.

- 'Me voila bien ennuyer. S'il y a un dieu qui m'a enfin accepter, qu'il se pointe maintenant et qu'il me sorte de là.'

Derfel rassembla quelques hommes avec lui, encerclés, il se défendaient comme une meute acculée. Chacun ne pensait qu'a garder en vie ses compagnons.
Soudainement, une brise légère fouetta le champ de bataille, dissipant la fumée pendant un battement de coeur. Derfel aperçu un homme qui se battait seul et isolé, sur sa monture, entouré d'orcs.
Il trouva ce qu'il cherchait des yeux, un étalon sans maitre courait dans sa direction. Il sauta prestement sur la monture, et la dirigea vers l'homme qu'il avait aperçut, saisissant au passage une lance fichée au sol.

Arrivant sur les lieux du combat, il projeta sa lance d'un ample mouvement de bras vers le groupe d'orcs, puis laissa sa monture dépasser le tumulte, reconnaissant au passage Rukainn.

Un porte étendard arriva alors à la rencontre de l'elfe. Les derniers cavaliers s'étaient rassemblés à la vue du blason de l'empire.

- Que faisons nous Messire ?

" ... Repartez, faites sonner la retraite. "

Le porte étendard prit sa corne, et sonna trois coups brefs, signal de la retraite vers les portes.

- Et les troupes de renforts Monseigneur ?

" Elles ont entendu le signal, elles feront comme vous. "

- Vous avez entendu, hurla le porte étendard, AUX PORTES !
Et vous, Seigneur, que faites-vous ?

" Moi, je reste, je vous rejoinds plus tard. "

Les derniers cavaliers, une dizaine tout au plus, fuyèrent se réfugier aux portes.
Derfel resta là, à l'écart du gors de la lutte, essayant de voir si Rukainn parvenait à retirer ses hommes. Dans le cas contraire, il se devait comme lui, d'aller le chercher...

Un ombre se dessina derrière Neyréa. Sieg' armé de sa faux, la cape le recouvrant totalement, resta silencieux, immobile.

Reniflant l'odeur du sang et de la guerre, il leva legerment la tête vers la femme.

- L'odeur du sang m'a fait venir par ici..

Il se remit droit, se retourna et s'avança vers Neyréa.

- je vais aller faire un tour..

Le vampire recula, prit son élan et sauta par dessus la haute rembarde.

Il atterit les jambes fléchient et courut à toutes vitesse dans la bataille, tournant sa faux comme un bâton

Les rues ne laissaient plus apercevoir d'autres personnages que les soldats et leur air triste. La bataille faisait rage, les habitants s'abritaient.

Marchant seul au milieu de la ruelle des commerçants, Sylphisius prenait le chien le plus rapide pour parvenir au Temple. Il depassa un chien qui japait et jetta un coup d'oeil dans quelques maisons aux alentours.

Bien vite il atteint le grand batiment de pierre et s'aventura sur les quelques marches. Il poussa la porte... Mais celle-ci resista. Il tambourrina alors violement sur l'énorme obstacle de bois.

"Ouvre donc c'est Sylphisius!"

On finit par lui ouvrir. Le Temple semblait s'être organisé en son absence : quelques soldats occupaient les lieux et des prêtres s'occupaient des habitant de la cité. Il salua de ses connaissances.

Traversant la grande salle il baissa la tête devant l'autel d'Aariba et eut une pensée pour la déesse.

Il se tourna alors pour descendre dans la tombe du ressucité Darkemperor. Il cracha devant la tombe du personnage et continua jusqu'à un mur. Il posa la main sur un flambeau et le tira vers lui.

Rukainn regarda Derfel.

- Ramenez tes hommes à Beleriand. Les miens sont encore en forme! Tu peux aussi te reposer

Son cheval se cabra à cause d'une flèche qui passa juste en dessous du cheval.

- Fantassin! EN FORMATION!!

70 des cents hommes courut vers Rukainn, plus ou moins en état, certain ayant de blessure importante.

- Nous allons repousser l'ennemi!